Lettre n° 5364
Par la grâce de D.ieu,
13 Nissan 5717,
Brooklyn,
Au jeune Aryé Leïb(1),
Je te salue et te bénis,
Je fais réponse à ta lettre, dans laquelle tu m’interroges sur tes études. Je suis surpris que tu ne me communiques pas leur programme. Tu ne me dis pas si tu t’y consacres avec élan et ardeur, si tu as le comportement d’un jeune Juif, étudiant la Torah avec constance, mettant en pratique les Mitsvot, respectant, en particulier, ses parents et ses professeurs.
Sans doute me préciseras-tu tout cela, dans ta prochaine lettre. Tu trouveras plus bas la réponse aux questions que tu m’as posées.
Avec ma bénédiction pour que tu me donnes de bonnes nouvelles et à l’occasion de la fête,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,
Pendant les déplacements du Sanctuaire, qui, parmi les Léviim, portaient le bassin d’ablution et son socle ?
Réponse : Il n’est pas dit que ces instruments avaient des poignées. Or, sans poignées, il était impossible de les porter sur l’épaule. Ils devaient donc être placés sur une charrette. C’est ce que dit le ‘Hizkouni, commentant le verset Chemot 30, 18. La Boraïta de l’édification du Sanctuaire, au chapitre 13, explique : Les familles de Guerchon étaient responsables des instruments du Sanctuaire, à l’exception de ceux qui étaient portés par les fils de Kehat, dont la liste figurait dans une Boraïta précédente. Les fils de Merari portaient les poutres. Cela veut bien dire que le bassin d’ablution et son socle étaient effectivement portés par les fils de Guerchon.
Pourquoi le verset ne précise-t-il pas clairement qui les portait ?
Réponse : Ces instruments n’avaient pas d’utilité intrinsèque. Ils permettaient aux Cohanim de se préparer au service divin(2). Pour cette même raison, D.ieu ne demanda pas de les confectionner en même temps qu’Il le fit pour tous les autres instruments, comme le précise le ‘Hizkouni, à la même référence.
Notes
(1) Le Rav A. L. Kaplan, de Prestwitch, Angleterre.
(2) En se lavant les mains.
13 Nissan 5717,
Brooklyn,
Au jeune Aryé Leïb(1),
Je te salue et te bénis,
Je fais réponse à ta lettre, dans laquelle tu m’interroges sur tes études. Je suis surpris que tu ne me communiques pas leur programme. Tu ne me dis pas si tu t’y consacres avec élan et ardeur, si tu as le comportement d’un jeune Juif, étudiant la Torah avec constance, mettant en pratique les Mitsvot, respectant, en particulier, ses parents et ses professeurs.
Sans doute me préciseras-tu tout cela, dans ta prochaine lettre. Tu trouveras plus bas la réponse aux questions que tu m’as posées.
Avec ma bénédiction pour que tu me donnes de bonnes nouvelles et à l’occasion de la fête,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,
Pendant les déplacements du Sanctuaire, qui, parmi les Léviim, portaient le bassin d’ablution et son socle ?
Réponse : Il n’est pas dit que ces instruments avaient des poignées. Or, sans poignées, il était impossible de les porter sur l’épaule. Ils devaient donc être placés sur une charrette. C’est ce que dit le ‘Hizkouni, commentant le verset Chemot 30, 18. La Boraïta de l’édification du Sanctuaire, au chapitre 13, explique : Les familles de Guerchon étaient responsables des instruments du Sanctuaire, à l’exception de ceux qui étaient portés par les fils de Kehat, dont la liste figurait dans une Boraïta précédente. Les fils de Merari portaient les poutres. Cela veut bien dire que le bassin d’ablution et son socle étaient effectivement portés par les fils de Guerchon.
Pourquoi le verset ne précise-t-il pas clairement qui les portait ?
Réponse : Ces instruments n’avaient pas d’utilité intrinsèque. Ils permettaient aux Cohanim de se préparer au service divin(2). Pour cette même raison, D.ieu ne demanda pas de les confectionner en même temps qu’Il le fit pour tous les autres instruments, comme le précise le ‘Hizkouni, à la même référence.
Notes
(1) Le Rav A. L. Kaplan, de Prestwitch, Angleterre.
(2) En se lavant les mains.