Lettre n° 5350
Par la grâce de D.ieu,
8 Nissan 5750,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Votre feuillet, avec ce qui y était joint, m’est bien parvenu. En un moment propice, je citerai tous ceux que vous mentionnez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin qu’ils obtiennent la satisfaction de leurs besoins, conformément à ce que vous écrivez.
On m’a également transmis deux coupures de presse avec vos articles. Sans doute maintiendrez-vous cet usage positif, y compris pour ce que vous avez écrit dans le passé. Vous devez vous efforcer, si cela n’est pas trop difficile, d’écrire des articles dignes d’être publiés, parce qu’ils présentent un intérêt pour le plus grand nombre.
Vous connaissez sûrement le dicton, que nous avons entendu de mon beau-père, le Rabbi, à propos de l’étude de la Torah : “ Tu dis que tu as appris la Torah, mais que t’a appris la Torah ? ”. Dans ce feuillet, en revanche, vous parlez de ce que vous enseignez aux autres, mais non de votre propre étude.
Puisse D.ieu faire que ce manque soit uniquement dans ce que vous m’écrivez et me transmettez, mais non dans l’action concrète. Et, même si c’est le cas, un ajout, de temps à autre, reste nécessaire, conformément à l’Injonction selon laquelle on connaît l’élévation, dans le domaine de la sainteté.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela et pour une fête de Pessa’h réellement cachère et joyeuse,
8 Nissan 5750,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Votre feuillet, avec ce qui y était joint, m’est bien parvenu. En un moment propice, je citerai tous ceux que vous mentionnez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin qu’ils obtiennent la satisfaction de leurs besoins, conformément à ce que vous écrivez.
On m’a également transmis deux coupures de presse avec vos articles. Sans doute maintiendrez-vous cet usage positif, y compris pour ce que vous avez écrit dans le passé. Vous devez vous efforcer, si cela n’est pas trop difficile, d’écrire des articles dignes d’être publiés, parce qu’ils présentent un intérêt pour le plus grand nombre.
Vous connaissez sûrement le dicton, que nous avons entendu de mon beau-père, le Rabbi, à propos de l’étude de la Torah : “ Tu dis que tu as appris la Torah, mais que t’a appris la Torah ? ”. Dans ce feuillet, en revanche, vous parlez de ce que vous enseignez aux autres, mais non de votre propre étude.
Puisse D.ieu faire que ce manque soit uniquement dans ce que vous m’écrivez et me transmettez, mais non dans l’action concrète. Et, même si c’est le cas, un ajout, de temps à autre, reste nécessaire, conformément à l’Injonction selon laquelle on connaît l’élévation, dans le domaine de la sainteté.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela et pour une fête de Pessa’h réellement cachère et joyeuse,