Lettre n° 5346
Par la grâce de D.ieu,
7 Nissan 5717,
Brooklyn,
A la sainte communauté Chouva Israël,
à Buenos Aires et, à sa tête, au grand Rav,
distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Zeev(1) Chlita,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue grandement et vous bénis,
A l’occasion de la fête des Matsot, temps de notre liberté, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, j’adresse à chacun et à chacune d’entre vous ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse, pour une liberté véritable, pour se défaire des tracas matériels et spirituels, de tout ce qui empêche de servir D.ieu avec joie et enthousiasme(2).
On sert D.ieu tout au long du jour et de la nuit, en tout ce qui concerne l’homme, ainsi qu’il est dit : “ En toutes tes voies, reconnais-Le ”. Le Rambam explique longuement tout cela, dans ses lois des opinions, à la fin du chapitre 3. Et, la Hala’ha en fait mention dans le Tour et le Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm, chapitre 231. Vous consulterez ces textes.
Puisse D.ieu faire que vous conserviez cette liberté et cette joie, tout au long de l’année.
Conformément à l’expression bien connue du Zohar, selon laquelle la Matsa est “ l’aliment de la foi ” et “ l’aliment de la guérison ”, j’ai demandé que l’on vous envoie d’ici, suffisamment tôt, de la Matsa Chemoura, afin que chaque membre de votre sainte communauté en reçoive au moins deux Kazaït(3).
D.ieu fasse que s’accomplisse le dicton de l’Admour Hazaken, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah, auteur du Tanya et Décisionnaire de la partie cachée de la Torah, qui nous a été transmis par mon beau-père, le Rabbi. En effet, l’Admour Hazaken dit : “ L’aliment de la foi est celui du premier soir et l’aliment de la guérison, celui du second soir. Lorsque la guérison permet la foi et que l’on remercie D.ieu d’avoir été guéri, on n’en a pas moins été malade. A l’opposé, lorsque la foi conduit vers la guérison, on n’a, d’emblée, pas connu la maladie ”.
Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
Notes
(1) Le Rav Z. Greenberg. Voir, à son sujet, les lettres n°4933 et 5154.
(2) Sur l’ensemble de cette lettre, voir la lettre précédente.
(3) Soit une soixantaine de grammes.
7 Nissan 5717,
Brooklyn,
A la sainte communauté Chouva Israël,
à Buenos Aires et, à sa tête, au grand Rav,
distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Zeev(1) Chlita,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue grandement et vous bénis,
A l’occasion de la fête des Matsot, temps de notre liberté, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, j’adresse à chacun et à chacune d’entre vous ma bénédiction pour une fête cachère et joyeuse, pour une liberté véritable, pour se défaire des tracas matériels et spirituels, de tout ce qui empêche de servir D.ieu avec joie et enthousiasme(2).
On sert D.ieu tout au long du jour et de la nuit, en tout ce qui concerne l’homme, ainsi qu’il est dit : “ En toutes tes voies, reconnais-Le ”. Le Rambam explique longuement tout cela, dans ses lois des opinions, à la fin du chapitre 3. Et, la Hala’ha en fait mention dans le Tour et le Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm, chapitre 231. Vous consulterez ces textes.
Puisse D.ieu faire que vous conserviez cette liberté et cette joie, tout au long de l’année.
Conformément à l’expression bien connue du Zohar, selon laquelle la Matsa est “ l’aliment de la foi ” et “ l’aliment de la guérison ”, j’ai demandé que l’on vous envoie d’ici, suffisamment tôt, de la Matsa Chemoura, afin que chaque membre de votre sainte communauté en reçoive au moins deux Kazaït(3).
D.ieu fasse que s’accomplisse le dicton de l’Admour Hazaken, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah, auteur du Tanya et Décisionnaire de la partie cachée de la Torah, qui nous a été transmis par mon beau-père, le Rabbi. En effet, l’Admour Hazaken dit : “ L’aliment de la foi est celui du premier soir et l’aliment de la guérison, celui du second soir. Lorsque la guérison permet la foi et que l’on remercie D.ieu d’avoir été guéri, on n’en a pas moins été malade. A l’opposé, lorsque la foi conduit vers la guérison, on n’a, d’emblée, pas connu la maladie ”.
Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
Notes
(1) Le Rav Z. Greenberg. Voir, à son sujet, les lettres n°4933 et 5154.
(2) Sur l’ensemble de cette lettre, voir la lettre précédente.
(3) Soit une soixantaine de grammes.