Lettre n° 5331
Par la grâce de D.ieu,
3 Nissan 5717,
Brooklyn, New York,
A l’attention de monsieur Eléazar Steinman(1),
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de la fête des Matsot, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, je vous adresse, à vous et à ceux qui vous suivent, mes vœux pour une fête cachère et joyeuse. Puisse D.ieu faire que le “ temps de notre liberté ” révèle une liberté véritable, une liberté, physique et morale, des voiles, des obstacles et de tout ce qui empêche de servir D.ieu joyeusement. Puis, vous conserverez cette joie tout au long de l’année.
A ce propos, je vous adresse une Haggadah de Pessa’h, avec un recueil de coutumes et de commentaires(2), dont la troisième édition vient de paraître. Celle-ci vous intéressera sûrement et j’espère qu’elle vous parviendra à temps.
De fait, chaque fois que je vois vos livres ou que je pense à eux, je me dis que vous avez un mérite considérable, celui de diffuser les sources(3) à l’extérieur, dans des milieux où nul ne sait quand elles seraient parvenues, sans votre intervention. Je suis sûr que vous-même ou vos parents possédez un mérite particulier, grâce auquel le bien de tous est obtenu par votre intermédiaire.
Vous pourriez vous demander pourquoi je veux savoir ce qui vous confère ce mérite. En fait, la connaissance de la manière dont un homme sert D.ieu peut également être utile aux autres et peut-être même également à moi. De plus, quand on observe qu’un certain accomplissement a permis d’obtenir une telle récompense, on reçoit une force accrue pour en faire de même. La nature humaine veut qu’une connaissance générale ne motive pas autant qu’une connaissance précise.
Bien entendu, il n’est pas de mon propos de rechercher les éléments personnels, concernant les autres. Mais, en l’occurrence, le mérite de cette diffusion se marque effectivement sur le plus grand nombre. Il y a donc vraisemblablement eu là un mérite public, “ mesure pour mesure ”(4).
Avec mes respects et ma bénédiction, à l’occasion de la fête,
M. Schneerson,
Notes
(1) Voir, à son sujet, la lettre n°5000.
(2) Dont le Rabbi est l’auteur.
(3) De la ‘Hassidout.
(4) Permettant à E. Steinman d’obtenir l’équivalent de ce qu’il a lui-même accompli.
3 Nissan 5717,
Brooklyn, New York,
A l’attention de monsieur Eléazar Steinman(1),
Je vous salue et vous bénis,
A l’occasion de la fête des Matsot, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien, je vous adresse, à vous et à ceux qui vous suivent, mes vœux pour une fête cachère et joyeuse. Puisse D.ieu faire que le “ temps de notre liberté ” révèle une liberté véritable, une liberté, physique et morale, des voiles, des obstacles et de tout ce qui empêche de servir D.ieu joyeusement. Puis, vous conserverez cette joie tout au long de l’année.
A ce propos, je vous adresse une Haggadah de Pessa’h, avec un recueil de coutumes et de commentaires(2), dont la troisième édition vient de paraître. Celle-ci vous intéressera sûrement et j’espère qu’elle vous parviendra à temps.
De fait, chaque fois que je vois vos livres ou que je pense à eux, je me dis que vous avez un mérite considérable, celui de diffuser les sources(3) à l’extérieur, dans des milieux où nul ne sait quand elles seraient parvenues, sans votre intervention. Je suis sûr que vous-même ou vos parents possédez un mérite particulier, grâce auquel le bien de tous est obtenu par votre intermédiaire.
Vous pourriez vous demander pourquoi je veux savoir ce qui vous confère ce mérite. En fait, la connaissance de la manière dont un homme sert D.ieu peut également être utile aux autres et peut-être même également à moi. De plus, quand on observe qu’un certain accomplissement a permis d’obtenir une telle récompense, on reçoit une force accrue pour en faire de même. La nature humaine veut qu’une connaissance générale ne motive pas autant qu’une connaissance précise.
Bien entendu, il n’est pas de mon propos de rechercher les éléments personnels, concernant les autres. Mais, en l’occurrence, le mérite de cette diffusion se marque effectivement sur le plus grand nombre. Il y a donc vraisemblablement eu là un mérite public, “ mesure pour mesure ”(4).
Avec mes respects et ma bénédiction, à l’occasion de la fête,
M. Schneerson,
Notes
(1) Voir, à son sujet, la lettre n°5000.
(2) Dont le Rabbi est l’auteur.
(3) De la ‘Hassidout.
(4) Permettant à E. Steinman d’obtenir l’équivalent de ce qu’il a lui-même accompli.