Lettre n° 5323
Par la grâce de D.ieu,
29 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption, j’ai bien reçu votre lettre du 24 Adar Chéni. Je suis surpris que vous ne me disiez rien de votre participation aux activités de ‘Habad et aux études publiques. Certes, vous menez plusieurs études seul. Néanmoins, il est un mérite et un usage d’une grande importance de participer à une étude qui a lieu en présence de dix Juifs, comme le dit Iguéret Ha Kodech, au chapitre 23. Vous consulterez également le Kountrass Hé’haltsou(1), qui traite de ce sujet.
J’espère que le manque est uniquement dans votre lettre, mais non dans l’action concrète.
Vous évoquez l’instruction du Rav Landa(2) sur la manière de fixer la Mezouza, selon laquelle il faut prendre en compte la charnière de la porte, c’est-à-dire son sens d’ouverture. Telle est effectivement notre coutume, sauf pour la porte qui donne vers l’extérieur. Bien entendu, réparer cela(3) fait également partie de la vérification des Mezouzot.
Pour faire réponse à votre question, il existe bien une instruction de mon beau-père, le Rabbi(4) qui est, me semble-t-il, déjà imprimée, concernant les trois études du ‘Houmach, des Tehilim et du Tanya, selon laquelle celui qui, pour une raison quelconque, n’a pas pu les apprendre dans la journée, pourra encore le faire, la nuit suivante.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, avec largesse d’esprit et dans la joie,
Notes
(1) Du Rabbi Rachab.
(2) Le Rav de Bneï Brak. Voir, à son sujet, la lettre n°5012.
(3) S’assurer que la Mezouza est bien fixée du bon côté de la porte.
(4) Voir, à ce sujet, les lettres n°1502 et 2867.
29 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption, j’ai bien reçu votre lettre du 24 Adar Chéni. Je suis surpris que vous ne me disiez rien de votre participation aux activités de ‘Habad et aux études publiques. Certes, vous menez plusieurs études seul. Néanmoins, il est un mérite et un usage d’une grande importance de participer à une étude qui a lieu en présence de dix Juifs, comme le dit Iguéret Ha Kodech, au chapitre 23. Vous consulterez également le Kountrass Hé’haltsou(1), qui traite de ce sujet.
J’espère que le manque est uniquement dans votre lettre, mais non dans l’action concrète.
Vous évoquez l’instruction du Rav Landa(2) sur la manière de fixer la Mezouza, selon laquelle il faut prendre en compte la charnière de la porte, c’est-à-dire son sens d’ouverture. Telle est effectivement notre coutume, sauf pour la porte qui donne vers l’extérieur. Bien entendu, réparer cela(3) fait également partie de la vérification des Mezouzot.
Pour faire réponse à votre question, il existe bien une instruction de mon beau-père, le Rabbi(4) qui est, me semble-t-il, déjà imprimée, concernant les trois études du ‘Houmach, des Tehilim et du Tanya, selon laquelle celui qui, pour une raison quelconque, n’a pas pu les apprendre dans la journée, pourra encore le faire, la nuit suivante.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, avec largesse d’esprit et dans la joie,
Notes
(1) Du Rabbi Rachab.
(2) Le Rav de Bneï Brak. Voir, à son sujet, la lettre n°5012.
(3) S’assurer que la Mezouza est bien fixée du bon côté de la porte.
(4) Voir, à ce sujet, les lettres n°1502 et 2867.