Lettre n° 5313
Par la grâce de D.ieu,
26 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 22 Adar Chéni.
J’y ai lu, avec effroi, que vous envisagez de voyager à bord d’un bateau dont les marins, le personnel et le capitaine sont israéliens(1) et que ce voyage se poursuivra également pendant le jour du Chabbat, ce qui en est une transgression évidente, à laquelle les voyageurs prennent part, de la même façon.
Comment cela est-il possible ? Comment un jeune homme étudiant à la Yechiva Tom’heï Temimim ou, plus généralement, dans une Yechiva(2), peut-il concevoir pareille idée ? Bien plus, vous me demandez mon accord pour cela et vous concluez votre lettre en disant que vous renforceriez ainsi votre étude de la Torah et votre crainte de D.ieu !
Vous envisagez de poursuivre vos études à la Yechiva, ici et vous citez, comme preuve, d’autres jeunes gens, étudiants à la Yechiva Tom’heï Temimim de France(3).
Vous savez sans doute ce qui leur a été écrit, c’est-à-dire qu’ils doivent étudier avec constance et beaucoup d’ardeur pendant les mois de l’hiver et de l’été, au point que la direction de la Yechiva Tom’heï Temimim puisse porter témoignage que cela a bien été le cas. C’est ensuite seulement, à la fin de l’été, qu’un voyage ici pourra être envisagé. Ces mêmes conditions s’appliquent également à vous, puisque vous êtes l’un des premiers venus étudier à la sainte Yechiva Tom’heï Temimim(4).
Puisse D.ieu faire que vous appreniez, avec crainte de D.ieu, la partie révélée de la Torah et la ‘Hassidout, que vous accomplissiez les Mitsvot de la meilleure façon et que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°4796.
(2) Même non ‘hassidique.
(3) A Brunoy, dans la région parisienne.
(4) En Terre Sainte.
26 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 22 Adar Chéni.
J’y ai lu, avec effroi, que vous envisagez de voyager à bord d’un bateau dont les marins, le personnel et le capitaine sont israéliens(1) et que ce voyage se poursuivra également pendant le jour du Chabbat, ce qui en est une transgression évidente, à laquelle les voyageurs prennent part, de la même façon.
Comment cela est-il possible ? Comment un jeune homme étudiant à la Yechiva Tom’heï Temimim ou, plus généralement, dans une Yechiva(2), peut-il concevoir pareille idée ? Bien plus, vous me demandez mon accord pour cela et vous concluez votre lettre en disant que vous renforceriez ainsi votre étude de la Torah et votre crainte de D.ieu !
Vous envisagez de poursuivre vos études à la Yechiva, ici et vous citez, comme preuve, d’autres jeunes gens, étudiants à la Yechiva Tom’heï Temimim de France(3).
Vous savez sans doute ce qui leur a été écrit, c’est-à-dire qu’ils doivent étudier avec constance et beaucoup d’ardeur pendant les mois de l’hiver et de l’été, au point que la direction de la Yechiva Tom’heï Temimim puisse porter témoignage que cela a bien été le cas. C’est ensuite seulement, à la fin de l’été, qu’un voyage ici pourra être envisagé. Ces mêmes conditions s’appliquent également à vous, puisque vous êtes l’un des premiers venus étudier à la sainte Yechiva Tom’heï Temimim(4).
Puisse D.ieu faire que vous appreniez, avec crainte de D.ieu, la partie révélée de la Torah et la ‘Hassidout, que vous accomplissiez les Mitsvot de la meilleure façon et que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°4796.
(2) Même non ‘hassidique.
(3) A Brunoy, dans la région parisienne.
(4) En Terre Sainte.