Lettre n° 5312
Par la grâce de D.ieu,
26 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre des 11 et 23 Adar Richon, à celles qui la précèdent et à celles qui la suivent. Vous me posez, en particulier, la question suivante : quelle est la volonté de D.ieu et que doit faire l’homme pour s’acquitter de son obligation(1) ?
Il est dit que : “ D.ieu fit l’homme droit, mais ils voulurent établir de nombreux calculs ”. La manière dont D.ieu fit l’homme droit est exposée par le Livre de la droiture, notre sainte Torah, Loi Ecrite et Loi Orale, qui révèlent la Volonté de D.ieu, béni soit-Il, donnent des conseils pour ôter les doutes que l’on pourrait avoir, pour identifier ce qui provient du domaine de la sainteté. Ce dernier point, en particulier, est précisé par la ‘Hassidout et par les causeries de nos saints maîtres, dont le mérite nous protégera.
Pour ce qui vous concerne plus particulièrement, la divine Providence vous a confié un sort enviable, celui de donner une bonne éducation aux enfants juifs, ce qui est qualifié de mission sacrée. Vous ne devez donc avoir aucun doute, à ce propos-là(2).
Par ailleurs, vous parlez également d’actions particulières, dans des domaines spécifiques, pour lesquelles on peut effectivement envisager plusieurs possibilités. Il semble que vous fassiez allusion, en cela, à vos activités communautaires s’ajoutant à vos fonctions d’enseignant ou bien à vos devoirs envers votre épouse et vos enfants. C’est précisément à ce propos qu’il a été dit : “ Si un homme a un soucis, en son cœur, il doit en parler ”. Et, vous connaissez le dicton(3) de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel on ligue ainsi deux âmes divines contre une seule âme animale.
Mais, avant tout, il convient, comme je le disais, de ne pas “ établir de nombreux calculs ”. Avancez de manière paisible et avec intégrité ! Dans la plupart des cas, le Choul’han Arou’h sera suffisant pour que vous puissiez établir ce qu’il y a lieu de faire.
Vous envisagez de déménager à Kfar ‘Habad et il est clair qu’il faut d’abord vérifier ce que votre épouse en pense. Si elle l’accepte pleinement, ce sera une bonne initiative. Mais, tout d’abord, vous visiterez le Kfar ensemble et vous observez les lieux. En effet, il y a, sur place, plusieurs sortes de maisons. De même, bien entendu, vous fixerez à l’avance ce qui vous permettra de gagner votre vie.
Sans doute se prépare-t-on aux jours de Pessa’h, qui approchent et à les utiliser de la manière qui convient, dans le cadre du réseau(4) et des jeunes de l’association ‘Habad.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Le destinataire de cette lettre assumant de nombreuses responsabilités communautaires.
(2) Il est clair qu’il faut s’engager en tout ce qui est lié à la bonne éducation.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°5290.
(4) Des écoles Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch, en Terre Sainte, dont le destinataire de cette lettre est sûrement un enseignant.
26 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre des 11 et 23 Adar Richon, à celles qui la précèdent et à celles qui la suivent. Vous me posez, en particulier, la question suivante : quelle est la volonté de D.ieu et que doit faire l’homme pour s’acquitter de son obligation(1) ?
Il est dit que : “ D.ieu fit l’homme droit, mais ils voulurent établir de nombreux calculs ”. La manière dont D.ieu fit l’homme droit est exposée par le Livre de la droiture, notre sainte Torah, Loi Ecrite et Loi Orale, qui révèlent la Volonté de D.ieu, béni soit-Il, donnent des conseils pour ôter les doutes que l’on pourrait avoir, pour identifier ce qui provient du domaine de la sainteté. Ce dernier point, en particulier, est précisé par la ‘Hassidout et par les causeries de nos saints maîtres, dont le mérite nous protégera.
Pour ce qui vous concerne plus particulièrement, la divine Providence vous a confié un sort enviable, celui de donner une bonne éducation aux enfants juifs, ce qui est qualifié de mission sacrée. Vous ne devez donc avoir aucun doute, à ce propos-là(2).
Par ailleurs, vous parlez également d’actions particulières, dans des domaines spécifiques, pour lesquelles on peut effectivement envisager plusieurs possibilités. Il semble que vous fassiez allusion, en cela, à vos activités communautaires s’ajoutant à vos fonctions d’enseignant ou bien à vos devoirs envers votre épouse et vos enfants. C’est précisément à ce propos qu’il a été dit : “ Si un homme a un soucis, en son cœur, il doit en parler ”. Et, vous connaissez le dicton(3) de mon beau-père, le Rabbi, selon lequel on ligue ainsi deux âmes divines contre une seule âme animale.
Mais, avant tout, il convient, comme je le disais, de ne pas “ établir de nombreux calculs ”. Avancez de manière paisible et avec intégrité ! Dans la plupart des cas, le Choul’han Arou’h sera suffisant pour que vous puissiez établir ce qu’il y a lieu de faire.
Vous envisagez de déménager à Kfar ‘Habad et il est clair qu’il faut d’abord vérifier ce que votre épouse en pense. Si elle l’accepte pleinement, ce sera une bonne initiative. Mais, tout d’abord, vous visiterez le Kfar ensemble et vous observez les lieux. En effet, il y a, sur place, plusieurs sortes de maisons. De même, bien entendu, vous fixerez à l’avance ce qui vous permettra de gagner votre vie.
Sans doute se prépare-t-on aux jours de Pessa’h, qui approchent et à les utiliser de la manière qui convient, dans le cadre du réseau(4) et des jeunes de l’association ‘Habad.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Le destinataire de cette lettre assumant de nombreuses responsabilités communautaires.
(2) Il est clair qu’il faut s’engager en tout ce qui est lié à la bonne éducation.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°5290.
(4) Des écoles Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch, en Terre Sainte, dont le destinataire de cette lettre est sûrement un enseignant.