Lettre n° 5310

Par la grâce de D.ieu,
24 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,

Je vous bénis et vous salue,

Vous m’écrivez, à propos de votre bougeoir(1). Il est bien évident qu’il ne faut prêter aucune attention à ce qui s’est passé.

Cela veut seulement dire qu’il existe un manque d’étude du luminaire de la Torah, c’est-à-dire de sa dimension profonde(2). Sans doute votre mari s’y consacre-t-il de manière totalement insuffisante par rapport à ses possibilités et à ce qui est nécessaire.

S’il prend la décision d’une évolution positive, en ce sens et commence à la mettre en pratique, tout sera résolu et il en résultera même un bien. Votre maison sera éclairée par “ la bougie (qui) est une Mitsva et la Torah (qui) est une lumière ”, de même que par le luminaire de la Torah qui a été révélé, à notre époque et qu’il est donc possible de comprendre, grâce à la ‘Hassidout ‘Habad.

Que D.ieu vous accorde la réussite afin de me donner de bonnes nouvelles de tout cela.

Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,

N. B. : Je suis surpris que vous ne me disiez rien de votre participation aux activités des femmes et jeunes filles ‘Habad.

Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, vous apportiez votre participation, dans toute la mesure de ce qui est nécessaire.

Notes

(1) Qui, pendant l’allumage des bougies du Chabbat, est tombé et s’est cassé.
(2) La ‘Hassidout.