Lettre n° 5308
Par la grâce de D.ieu,
24 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du mardi de la Parchat Tazrya et à celle qui la précédait, avec ce qui y était joint, une copie en anglais.
J’ai lu avec plaisir, dans votre dernière lettre, que le camp opposé a décidé de ne pas fonder un jardin d’enfants. Vous reconnaissez donc qu’un acquis important pour la bonne éducation a ainsi été obtenu dans votre ville. Mais, bien entendu, il est douloureux de constater que, jusqu’à maintenant, des signes et des indications ont été nécessaires pour faire la preuve que cette éducation avait bien sa place, chez vous.
La bonne éducation est nécessaire et il faut en conclure qu’elle est possible, non seulement dans l’analyse théorique, mais aussi dans l’action concrète. Tout ne dépend que de ceux qui doivent se consacrer à cette activité.
Désormais, vous avez pu observer ces signes et puisse donc D.ieu faire que vous changiez d’optique, de même que votre épouse. Vous observerez la situation du Judaïsme et vous verrez que, potentiellement, tout est possible. Bien plus, les forces nécessaires pour faire un usage concret de ce potentiel vous sont également accordées. Il vous suffit d’orienter ces forces dans la direction qui convient, afin de réaliser les actions qui conviennent.
De cette façon, vous pourrez vérifier que la plupart des obstacles et des difficultés ne sont qu’apparents. Certains même se transformeront, au point de venir en aide. En effet, la Torah dit de l’ensemble du mois de Pourim, de tous les jours qui le constituent, que “ il fut transformé pour eux ” en joie et en fête.
Or, la signification de cette transformation est la suivante. Ce mois est susceptible de changer ce qui, d’emblée, n’était pas un bien visible et tangible en joie et en fête, que l’on peut observer de ses yeux de chair.
Avec ma bénédiction,
24 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du mardi de la Parchat Tazrya et à celle qui la précédait, avec ce qui y était joint, une copie en anglais.
J’ai lu avec plaisir, dans votre dernière lettre, que le camp opposé a décidé de ne pas fonder un jardin d’enfants. Vous reconnaissez donc qu’un acquis important pour la bonne éducation a ainsi été obtenu dans votre ville. Mais, bien entendu, il est douloureux de constater que, jusqu’à maintenant, des signes et des indications ont été nécessaires pour faire la preuve que cette éducation avait bien sa place, chez vous.
La bonne éducation est nécessaire et il faut en conclure qu’elle est possible, non seulement dans l’analyse théorique, mais aussi dans l’action concrète. Tout ne dépend que de ceux qui doivent se consacrer à cette activité.
Désormais, vous avez pu observer ces signes et puisse donc D.ieu faire que vous changiez d’optique, de même que votre épouse. Vous observerez la situation du Judaïsme et vous verrez que, potentiellement, tout est possible. Bien plus, les forces nécessaires pour faire un usage concret de ce potentiel vous sont également accordées. Il vous suffit d’orienter ces forces dans la direction qui convient, afin de réaliser les actions qui conviennent.
De cette façon, vous pourrez vérifier que la plupart des obstacles et des difficultés ne sont qu’apparents. Certains même se transformeront, au point de venir en aide. En effet, la Torah dit de l’ensemble du mois de Pourim, de tous les jours qui le constituent, que “ il fut transformé pour eux ” en joie et en fête.
Or, la signification de cette transformation est la suivante. Ce mois est susceptible de changer ce qui, d’emblée, n’était pas un bien visible et tangible en joie et en fête, que l’on peut observer de ses yeux de chair.
Avec ma bénédiction,