Lettre n° 5282
Par la grâce de D.ieu,
16 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
se consacre aux besoins communautaires,
aux multiples accomplissements,
le Rav Chlomo(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre, en son temps et je viens maintenant d’apprendre la réussite de l’activité de Pourim et votre chaleureuse participation.
Puisse D.ieu faire que vous mettiez en pratique, avec les membres de votre famille, l’Injonction selon laquelle on s’élève dans la sainteté, en bonne santé, avec largesse d’esprit et dans l’opulence matérielle.
Et, tous ensemble, nous aurons le mérite de renforcer et de développer les saintes institutions de ‘Habad Loubavitch, en tout endroit où elles se trouvent, en fonction des besoins du moment et du lieu, qui sont de plus en plus importants.
D.ieu accorde la possibilité d’agir ainsi, de Sa main pleine, ouverte, sainte et large. Tout dépend donc de la volonté de l’homme, qui ne s’affectera pas des obstacles et des difficultés auxquels il est confronté, d’autant que, pour la plupart, ceux-ci ne sont que des apparences et ne correspondent pas à la réalité. Vous effectuerez ces actions avec un cœur entier et dans la joie. Le succès en sera accru d’autant(2).
Nous avons vécu les jours de Pourim, délivrant ce même enseignement. Au final, les barrières et les empêchements, les voiles et les obstacles ne dérangent plus. Ils viennent même en aide. En effet, la Torah dit, de l’ensemble du mois de Pourim, de tous les jours qui le constituent, que “ il fut transformé pour eux ” en joie et en fête.
Or, la signification de cette transformation est la suivante. Ce mois est susceptible de changer ce qui, d’emblée, n’était pas un bien visible et tangible en joie et en fête, que l’on peut observer de ses yeux de chair.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
N. B. : Le compte est exact. Je l’ai reçu et vous en remercie.
Notes
(1) Le Rav C. Perin, de Londres. Voir, à son sujet, la lettre n°3626.
(2) Par la joie.
16 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
se consacre aux besoins communautaires,
aux multiples accomplissements,
le Rav Chlomo(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre, en son temps et je viens maintenant d’apprendre la réussite de l’activité de Pourim et votre chaleureuse participation.
Puisse D.ieu faire que vous mettiez en pratique, avec les membres de votre famille, l’Injonction selon laquelle on s’élève dans la sainteté, en bonne santé, avec largesse d’esprit et dans l’opulence matérielle.
Et, tous ensemble, nous aurons le mérite de renforcer et de développer les saintes institutions de ‘Habad Loubavitch, en tout endroit où elles se trouvent, en fonction des besoins du moment et du lieu, qui sont de plus en plus importants.
D.ieu accorde la possibilité d’agir ainsi, de Sa main pleine, ouverte, sainte et large. Tout dépend donc de la volonté de l’homme, qui ne s’affectera pas des obstacles et des difficultés auxquels il est confronté, d’autant que, pour la plupart, ceux-ci ne sont que des apparences et ne correspondent pas à la réalité. Vous effectuerez ces actions avec un cœur entier et dans la joie. Le succès en sera accru d’autant(2).
Nous avons vécu les jours de Pourim, délivrant ce même enseignement. Au final, les barrières et les empêchements, les voiles et les obstacles ne dérangent plus. Ils viennent même en aide. En effet, la Torah dit, de l’ensemble du mois de Pourim, de tous les jours qui le constituent, que “ il fut transformé pour eux ” en joie et en fête.
Or, la signification de cette transformation est la suivante. Ce mois est susceptible de changer ce qui, d’emblée, n’était pas un bien visible et tangible en joie et en fête, que l’on peut observer de ses yeux de chair.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
N. B. : Le compte est exact. Je l’ai reçu et vous en remercie.
Notes
(1) Le Rav C. Perin, de Londres. Voir, à son sujet, la lettre n°3626.
(2) Par la joie.