Lettre n° 5239
Par la grâce de D.ieu,
2 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 24 Adar Richon :
A) L’étude du Tanya est l’une de celles qui ont, maintes fois, été définies par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, comme des pratiques favorables, en différents domaines. En conséquence, il serait bon, en plus de celle que vous mentionnez, d’adopter également sa répartition annuelle, telle qu’elle a été établie par mon beau-père(1), le Rabbi et qui figure dans le guide d’étude.
Vous pourrez sans doute, dès maintenant, comprendre cette étude(2). Bien entendu, par la suite, quand vous l’aurez apprise à plusieurs reprises, vous aurez une compréhension plus profonde du Tanya. Il en est de même pour toutes les parties de notre Torah. Chaque fois qu’on les étudie à nouveau, on les perçoit plus profondément. En effet, disent nos Sages, “ il est inconcevable que l’on sorte de la maison d’étude sans aucune idée nouvelle ”.
B) Vous m’interrogez sur l’étude du ‘Houmach(1). Elle est définie de la façon suivante. Le dimanche, on étudie la première Paracha de la Sidra de la semaine, le lundi du Chéni au Chelichi et ainsi de suite, pendant toute la semaine, une Paracha par jour.
C) Vous m’interrogez sur les noms des parties du Tanya. Vous consulterez, à ce sujet, dans le Tanya paru aux éditions Kehot, à Brooklyn, les notes figurant à la fin du livre, qui expliquent ces noms. Ces commentaires ont également été publiés dans un fascicule indépendant, sous le titre : “ clés pour le Tanya ”.
D) Vous m’interrogez sur la colère et l’orgueil(3). Dans ces domaines comme dans les autres, la réparation doit être effectuée, étape par étape.
Dans un premier temps, il faut s’efforcer de ne pas exprimer la colère ou l’orgueil par la parole. De la sorte, on réduit les proportions de ces sentiments, comme on peut le vérifier concrètement.
Quand ces sentiments se manifestent, il faut, en outre, méditer au contenu du début du chapitre 41 du Tanya(4). Il serait bon que vous en ayez une bonne connaissance, ou même que vous l’appreniez par cœur, depuis le début du chapitre jusqu’à la page 56b.
Bien plus, comme vous le savez, les écrits du Ari Zal disent que celui qui se met en colère change d’âme. Vous consulterez également la causerie de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, prononcée le 19 Kislev 5693(5), qui commente l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ celui qui se met en colère…(6) ”.
E) Il est sans doute inutile de vous rappeler qu’à quiconque en a la possibilité incombent le devoir et l’obligation de se consacrer à la diffusion des sources de la ‘Hassidout, jusqu’à ce qu’elles parviennent également à l’extérieur. Et, rien ne résiste à la détermination.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Dans le cadre des études quotidiennes du ‘Houmach, des Tehilim et du Tanya.
(2) En fonction des connaissances déjà acquises.
(3) Sur la manière de s’en défaire.
(4) Rappelant la Présence de D.ieu, face à chacun.
(5) 1932.
(6) Est considéré comme s’il servait les idoles.
2 Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 24 Adar Richon :
A) L’étude du Tanya est l’une de celles qui ont, maintes fois, été définies par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, comme des pratiques favorables, en différents domaines. En conséquence, il serait bon, en plus de celle que vous mentionnez, d’adopter également sa répartition annuelle, telle qu’elle a été établie par mon beau-père(1), le Rabbi et qui figure dans le guide d’étude.
Vous pourrez sans doute, dès maintenant, comprendre cette étude(2). Bien entendu, par la suite, quand vous l’aurez apprise à plusieurs reprises, vous aurez une compréhension plus profonde du Tanya. Il en est de même pour toutes les parties de notre Torah. Chaque fois qu’on les étudie à nouveau, on les perçoit plus profondément. En effet, disent nos Sages, “ il est inconcevable que l’on sorte de la maison d’étude sans aucune idée nouvelle ”.
B) Vous m’interrogez sur l’étude du ‘Houmach(1). Elle est définie de la façon suivante. Le dimanche, on étudie la première Paracha de la Sidra de la semaine, le lundi du Chéni au Chelichi et ainsi de suite, pendant toute la semaine, une Paracha par jour.
C) Vous m’interrogez sur les noms des parties du Tanya. Vous consulterez, à ce sujet, dans le Tanya paru aux éditions Kehot, à Brooklyn, les notes figurant à la fin du livre, qui expliquent ces noms. Ces commentaires ont également été publiés dans un fascicule indépendant, sous le titre : “ clés pour le Tanya ”.
D) Vous m’interrogez sur la colère et l’orgueil(3). Dans ces domaines comme dans les autres, la réparation doit être effectuée, étape par étape.
Dans un premier temps, il faut s’efforcer de ne pas exprimer la colère ou l’orgueil par la parole. De la sorte, on réduit les proportions de ces sentiments, comme on peut le vérifier concrètement.
Quand ces sentiments se manifestent, il faut, en outre, méditer au contenu du début du chapitre 41 du Tanya(4). Il serait bon que vous en ayez une bonne connaissance, ou même que vous l’appreniez par cœur, depuis le début du chapitre jusqu’à la page 56b.
Bien plus, comme vous le savez, les écrits du Ari Zal disent que celui qui se met en colère change d’âme. Vous consulterez également la causerie de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, prononcée le 19 Kislev 5693(5), qui commente l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ celui qui se met en colère…(6) ”.
E) Il est sans doute inutile de vous rappeler qu’à quiconque en a la possibilité incombent le devoir et l’obligation de se consacrer à la diffusion des sources de la ‘Hassidout, jusqu’à ce qu’elles parviennent également à l’extérieur. Et, rien ne résiste à la détermination.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Dans le cadre des études quotidiennes du ‘Houmach, des Tehilim et du Tanya.
(2) En fonction des connaissances déjà acquises.
(3) Sur la manière de s’en défaire.
(4) Rappelant la Présence de D.ieu, face à chacun.
(5) 1932.
(6) Est considéré comme s’il servait les idoles.