Lettre n° 5236
Par la grâce de D.ieu,
1er Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 23 Adar Richon, qui faisait suite à une longue interruption.
Conformément à votre demande, je mentionnerai votre nom et celui des membres de votre famille, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins, en fonction de ce que vous m’écrivez, en particulier pour que vous gagniez mieux votre vie, comme vous l’exposez longuement dans votre lettre.
Il est inutile de vous souligner que, chez un homme juif, la subsistance matérielle est liée à la subsistance morale. Ce Juif appartient, en effet, à “ une nation unique sur la terre ”(1), comme l’explique l’Admour Hazaken, y compris quand il se trouve dans un monde matériel, a des préoccupations matérielles.
En conséquence, plus vous renforcerez votre subsistance morale, ce qui dépend de vous, car “ tout est dans les mains de D.ieu sauf la crainte de D.ieu ” et chaque Juif reçoit, pour cela, le libre arbitre, plus votre subsistance matérielle sera renforcée, car elle dépend de Celui Qui donne la Torah, ordonne les Mitsvot et assure la subsistance de chacun. Et, “ à quiconque ajoute(2), on ajoute(3) ”.
Il serait particulièrement judicieux que vous donniez quelques pièces à la Tsédaka, chaque jour de semaine, avant la prière du matin et également avant celle de Min’ha. Bien évidemment, vous adopterez cette pratique sans en faire le vœu.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
N. B. : Vous maintenez sûrement les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues.
Notes
(1) Voir la lettre n°5234.
(2) Des efforts.
(3) Des bénédictions.
1er Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 23 Adar Richon, qui faisait suite à une longue interruption.
Conformément à votre demande, je mentionnerai votre nom et celui des membres de votre famille, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins, en fonction de ce que vous m’écrivez, en particulier pour que vous gagniez mieux votre vie, comme vous l’exposez longuement dans votre lettre.
Il est inutile de vous souligner que, chez un homme juif, la subsistance matérielle est liée à la subsistance morale. Ce Juif appartient, en effet, à “ une nation unique sur la terre ”(1), comme l’explique l’Admour Hazaken, y compris quand il se trouve dans un monde matériel, a des préoccupations matérielles.
En conséquence, plus vous renforcerez votre subsistance morale, ce qui dépend de vous, car “ tout est dans les mains de D.ieu sauf la crainte de D.ieu ” et chaque Juif reçoit, pour cela, le libre arbitre, plus votre subsistance matérielle sera renforcée, car elle dépend de Celui Qui donne la Torah, ordonne les Mitsvot et assure la subsistance de chacun. Et, “ à quiconque ajoute(2), on ajoute(3) ”.
Il serait particulièrement judicieux que vous donniez quelques pièces à la Tsédaka, chaque jour de semaine, avant la prière du matin et également avant celle de Min’ha. Bien évidemment, vous adopterez cette pratique sans en faire le vœu.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
N. B. : Vous maintenez sûrement les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues.
Notes
(1) Voir la lettre n°5234.
(2) Des efforts.
(3) Des bénédictions.