Lettre n° 5231
Par la grâce de D.ieu,
Premier jour de Roch ‘Hodech
Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption, j’ai reçu votre lettre du 13 Adar Richon. Vous me précisez de quelle manière vous vous êtes installé, jusqu’à maintenant. D.ieu fasse que cette installation soit positive, matériellement et spirituellement.
Là-bas(1), en effet, on agissait pour diffuser la Torah et les Mitsvot, en particulier pour la diffusion des sources(2) à l’extérieur, même s’il fallait risquer sa vie pour cela. Combien plus doit-il en être de même ici, alors que ce risque est uniquement potentiel.
Or, on ne fait même pas le don de sa propre personne au sens de la ‘Hassidout, c’est-à-dire en offrant sa propre volonté. Si on le faisait, on obtiendrait un résultat considérable.
Puisse D.ieu faire, pendant que cet esprit d’abnégation est encore vivace en vous, que vous influenciez, en ce sens, les ‘Hassidim de Terre Sainte, en particulier et surtout ceux qui, avec le temps, se sont refroidis de manière effroyable, en la matière, au point qu’on ne puisse plus du tout les distinguer de ceux en qui nos saints maîtres n’ont pas investi de forces profondes.
Que D.ieu vous accorde la réussite en cela également. Certes, les ‘Hassidim ont le libre arbitre et ils savent même marquer fortement leur avis. Néanmoins, s’ils se servent de cette faculté d’une manière qui ne convient pas, ils s’écartent de la volonté de nos maîtres. Et, vous savez ce que nos maîtres disent de Pessa’h Chéni, comme le reproduit le Hayom Yom(3).
Sans doute maintenez-vous, de la manière qui convient, un contact avec les anciens élèves de la Yechiva et les ‘Hassidim qui se trouvent encore là-bas(1). Bien entendu, vous le ferez avec la prudence qui s’impose.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, en étant bien installé, en bonne santé et avec largesse d’esprit,
Notes
(1) En Russie.
(2) De la ‘Hassidout.
(3) Rien n’est jamais définitivement perdu.
Premier jour de Roch ‘Hodech
Adar Chéni 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption, j’ai reçu votre lettre du 13 Adar Richon. Vous me précisez de quelle manière vous vous êtes installé, jusqu’à maintenant. D.ieu fasse que cette installation soit positive, matériellement et spirituellement.
Là-bas(1), en effet, on agissait pour diffuser la Torah et les Mitsvot, en particulier pour la diffusion des sources(2) à l’extérieur, même s’il fallait risquer sa vie pour cela. Combien plus doit-il en être de même ici, alors que ce risque est uniquement potentiel.
Or, on ne fait même pas le don de sa propre personne au sens de la ‘Hassidout, c’est-à-dire en offrant sa propre volonté. Si on le faisait, on obtiendrait un résultat considérable.
Puisse D.ieu faire, pendant que cet esprit d’abnégation est encore vivace en vous, que vous influenciez, en ce sens, les ‘Hassidim de Terre Sainte, en particulier et surtout ceux qui, avec le temps, se sont refroidis de manière effroyable, en la matière, au point qu’on ne puisse plus du tout les distinguer de ceux en qui nos saints maîtres n’ont pas investi de forces profondes.
Que D.ieu vous accorde la réussite en cela également. Certes, les ‘Hassidim ont le libre arbitre et ils savent même marquer fortement leur avis. Néanmoins, s’ils se servent de cette faculté d’une manière qui ne convient pas, ils s’écartent de la volonté de nos maîtres. Et, vous savez ce que nos maîtres disent de Pessa’h Chéni, comme le reproduit le Hayom Yom(3).
Sans doute maintenez-vous, de la manière qui convient, un contact avec les anciens élèves de la Yechiva et les ‘Hassidim qui se trouvent encore là-bas(1). Bien entendu, vous le ferez avec la prudence qui s’impose.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, en étant bien installé, en bonne santé et avec largesse d’esprit,
Notes
(1) En Russie.
(2) De la ‘Hassidout.
(3) Rien n’est jamais définitivement perdu.