Lettre n° 5216
Par la grâce de D.ieu,
25 Adar Richon 5717,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Its’hak Leïb(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce dimanche, dans laquelle j’ai lu, avec plaisir, que vous êtes en relation avec des personnes de ‘Habad, que votre professeur était un ‘Hassid ‘Habad, que plusieurs de vos proches le sont également. Vous en avez conscience et vous mentionnez ce fait. Cela veut sûrement dire que l’impact s’en ressent dans votre action concrète et qu’en conséquence, vous fixez un temps pour étudier la ‘Hassidout ‘Habad, vous adoptez ses usages et ses pratiques, au moins dans une certaine mesure.
De plus, la Michna dit que l’on peut apprendre une leçon de chacun. Bien entendu, une telle étude est positive, c’est-à-dire qu’elle conduit à l’action. Or, l’action d’un Juif est essentiellement celle qui lui permet de mener à bien la mission qui lui est confiée, ainsi qu’il est dit : “ J’ai été créé pour servir mon Créateur ” grâce à la Torah et aux Mitsvot.
La divine Providence vous a donné le moyen d’exercer votre influence sur votre entourage. Chaque ajout, chez celui qui transmet(2), se trouve donc multiplié de nombreuses fois, en fonction du nombre et de la nature des élèves. C’est une évidence. Et, rien ne résiste à la détermination, d’autant que le mérite de ce qui est public vous vient en aide.
A ce propos, vous précisez, dans votre lettre, que vous êtes Rav, Cho’het et enseignant. Or, il est sûrement inutile de vous souligner à quel point il est fondamental, à notre époque, qu’au moins une partie de chaque étude publique soit consacrée à l’étude des lois qui sont nécessaires au quotidien. On peut vérifier, dans la pratique, à quel point cela est important. Malheureusement, l’ignorance, en la matière, est plus grande que dans les autres parties de la Torah, alors que l’application de ces principes est quotidienne.
Conformément à votre demande, je mentionnerai votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous connaissiez la réussite en tout cela, en bonne santé et avec largesse d’esprit.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
N. B. : Vous envisagez la création d’une Yechiva, près de chez vous. Vous devez en parler aux responsables de ‘Habad, qui se trouvent sur place ou bien sont à proximité.
Notes
(1) Le Rav I. L. Rochlin, de Tekouma.
(2) Et, qui fait donc partie de cette transmission.
25 Adar Richon 5717,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Its’hak Leïb(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce dimanche, dans laquelle j’ai lu, avec plaisir, que vous êtes en relation avec des personnes de ‘Habad, que votre professeur était un ‘Hassid ‘Habad, que plusieurs de vos proches le sont également. Vous en avez conscience et vous mentionnez ce fait. Cela veut sûrement dire que l’impact s’en ressent dans votre action concrète et qu’en conséquence, vous fixez un temps pour étudier la ‘Hassidout ‘Habad, vous adoptez ses usages et ses pratiques, au moins dans une certaine mesure.
De plus, la Michna dit que l’on peut apprendre une leçon de chacun. Bien entendu, une telle étude est positive, c’est-à-dire qu’elle conduit à l’action. Or, l’action d’un Juif est essentiellement celle qui lui permet de mener à bien la mission qui lui est confiée, ainsi qu’il est dit : “ J’ai été créé pour servir mon Créateur ” grâce à la Torah et aux Mitsvot.
La divine Providence vous a donné le moyen d’exercer votre influence sur votre entourage. Chaque ajout, chez celui qui transmet(2), se trouve donc multiplié de nombreuses fois, en fonction du nombre et de la nature des élèves. C’est une évidence. Et, rien ne résiste à la détermination, d’autant que le mérite de ce qui est public vous vient en aide.
A ce propos, vous précisez, dans votre lettre, que vous êtes Rav, Cho’het et enseignant. Or, il est sûrement inutile de vous souligner à quel point il est fondamental, à notre époque, qu’au moins une partie de chaque étude publique soit consacrée à l’étude des lois qui sont nécessaires au quotidien. On peut vérifier, dans la pratique, à quel point cela est important. Malheureusement, l’ignorance, en la matière, est plus grande que dans les autres parties de la Torah, alors que l’application de ces principes est quotidienne.
Conformément à votre demande, je mentionnerai votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous connaissiez la réussite en tout cela, en bonne santé et avec largesse d’esprit.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
N. B. : Vous envisagez la création d’une Yechiva, près de chez vous. Vous devez en parler aux responsables de ‘Habad, qui se trouvent sur place ou bien sont à proximité.
Notes
(1) Le Rav I. L. Rochlin, de Tekouma.
(2) Et, qui fait donc partie de cette transmission.