Lettre n° 5215
Par la grâce de D.ieu,
24 Adar Richon 5717,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue(1),
Je fais réponse à votre lettre du 17(2) Adar, dans laquelle vous me dites que vous ne trouvez pas le calme de l’esprit, car il vous semble que l’on ne s’est pas acquitté de son obligation(3).
Comme vous le savez, le devoir essentiel de l’épouse et de la mère, qui est également son mérite, consiste à diriger la maison conformément aux enseignements de notre Torah et de ses Mitsvot, à assurer l’éducation des enfants. En conséquence, tout ce qui fait obstacle à cet objectif ou même l’affaiblit, doit être rejeté de la manière la plus catégorique, dès lors qu’il est une entrave à la réalisation de la mission confiée par Celui Qui donne la Torah et crée le monde.
Il en est de même pour ce qui fait l’objet de notre propos. Si, bien au contraire, vous voulez vous acquitter de votre obligation en ces domaines, non seulement le souvenir que vous avez(4) ne doit pas vous empêcher d’assumer votre mission, mais, bien au contraire, vous devez la développer. Je fais allusion à la direction de la maison et à l’éducation des enfants, selon un mode de vie de Torah, traditionnel et ‘hassidique.
Pour y parvenir, il faut, bien entendu, posséder le calme et la largesse de l’esprit. C’est uniquement de cette façon que l’on procure la satisfaction à l’âme du défunt. En effet, son souvenir conduit à développer tout ce qui concerne la Torah et les Mitsvot, pénétrées de chaleur et de vitalité ‘hassidiques.
Que D.ieu vous accorde le mérite et la réussite, avec votre mari, le Rav Chlita, d’éduquer vos enfants, en bonne santé, à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une femme.
(2) Le Rabbi écrit Tov, bon, terme dont la valeur numérique est dix sept.
(3) Envers un être cher, que cette femme a perdu.
(4) Du défunt.
24 Adar Richon 5717,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue(1),
Je fais réponse à votre lettre du 17(2) Adar, dans laquelle vous me dites que vous ne trouvez pas le calme de l’esprit, car il vous semble que l’on ne s’est pas acquitté de son obligation(3).
Comme vous le savez, le devoir essentiel de l’épouse et de la mère, qui est également son mérite, consiste à diriger la maison conformément aux enseignements de notre Torah et de ses Mitsvot, à assurer l’éducation des enfants. En conséquence, tout ce qui fait obstacle à cet objectif ou même l’affaiblit, doit être rejeté de la manière la plus catégorique, dès lors qu’il est une entrave à la réalisation de la mission confiée par Celui Qui donne la Torah et crée le monde.
Il en est de même pour ce qui fait l’objet de notre propos. Si, bien au contraire, vous voulez vous acquitter de votre obligation en ces domaines, non seulement le souvenir que vous avez(4) ne doit pas vous empêcher d’assumer votre mission, mais, bien au contraire, vous devez la développer. Je fais allusion à la direction de la maison et à l’éducation des enfants, selon un mode de vie de Torah, traditionnel et ‘hassidique.
Pour y parvenir, il faut, bien entendu, posséder le calme et la largesse de l’esprit. C’est uniquement de cette façon que l’on procure la satisfaction à l’âme du défunt. En effet, son souvenir conduit à développer tout ce qui concerne la Torah et les Mitsvot, pénétrées de chaleur et de vitalité ‘hassidiques.
Que D.ieu vous accorde le mérite et la réussite, avec votre mari, le Rav Chlita, d’éduquer vos enfants, en bonne santé, à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Cette lettre est adressée à une femme.
(2) Le Rabbi écrit Tov, bon, terme dont la valeur numérique est dix sept.
(3) Envers un être cher, que cette femme a perdu.
(4) Du défunt.