Lettre n° 5205
Par la grâce de D.ieu,
14 Adar Richon 5717,
Brooklyn,
A mon proche parent, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav C.(1) Ha Cohen et son épouse,
ma proche parente, madame Dévora Léa,
Je vous salue et vous bénis,
Nous n’avons pas eu l’occasion de nous voir, lors de la Hilloula de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera(2), bien que je m’enquiers de vous et que j’obtiens souvent de vos nouvelles.
Je saisis donc l’occasion de Pourim Katan, puisque ce jour et le mois dans lequel il survient, Adar Richon, entrent dans le champ d’application de l’Injonction de nos Sages selon laquelle : “ Dès le commencement d’Adar, on multiplie sa joie ”. Je formule le vœu que la joie de ce mois et de ces jours se prolonge tout au long de l’année.
Cette joie sera conforme à l’enseignement du Baal Chem Tov et à la ‘Hassidout. Ce sera une joie morale et physique, une joie inspirée par les éléments spirituels et les préoccupations matérielles. Vous l’éprouverez en bonne santé et avec une largesse d’esprit véritable.
De manière plaisante, on pourrait dire que “ ce petit sera grand ”(3). Pourim Katan introduit une petite joie, mais celle-ci brise les limites. Ainsi, tous les enfants d’Israël, y compris chacun d’entre nous, mériteront l’accomplissement de la promesse : “ Tu élèveras la tête des enfants d’Israël ”, pour leur faire quitter l’étroitesse et la limite, connaître la largesse dans tous les domaines.
Avec mes respects et ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav Chlomo Horenstein. Voir, à son sujet, la lettre n°2336.
(2) Le 10 Chevat.
(3) On passera du petit Pourim au grand.
14 Adar Richon 5717,
Brooklyn,
A mon proche parent, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav C.(1) Ha Cohen et son épouse,
ma proche parente, madame Dévora Léa,
Je vous salue et vous bénis,
Nous n’avons pas eu l’occasion de nous voir, lors de la Hilloula de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera(2), bien que je m’enquiers de vous et que j’obtiens souvent de vos nouvelles.
Je saisis donc l’occasion de Pourim Katan, puisque ce jour et le mois dans lequel il survient, Adar Richon, entrent dans le champ d’application de l’Injonction de nos Sages selon laquelle : “ Dès le commencement d’Adar, on multiplie sa joie ”. Je formule le vœu que la joie de ce mois et de ces jours se prolonge tout au long de l’année.
Cette joie sera conforme à l’enseignement du Baal Chem Tov et à la ‘Hassidout. Ce sera une joie morale et physique, une joie inspirée par les éléments spirituels et les préoccupations matérielles. Vous l’éprouverez en bonne santé et avec une largesse d’esprit véritable.
De manière plaisante, on pourrait dire que “ ce petit sera grand ”(3). Pourim Katan introduit une petite joie, mais celle-ci brise les limites. Ainsi, tous les enfants d’Israël, y compris chacun d’entre nous, mériteront l’accomplissement de la promesse : “ Tu élèveras la tête des enfants d’Israël ”, pour leur faire quitter l’étroitesse et la limite, connaître la largesse dans tous les domaines.
Avec mes respects et ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav Chlomo Horenstein. Voir, à son sujet, la lettre n°2336.
(2) Le 10 Chevat.
(3) On passera du petit Pourim au grand.