Lettre n° 5201
Par la grâce de D.ieu,
12 Adar Richon 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Its’hak Noa’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce lundi, dans lequel vous évoquez la conclusion de ce contrat et le permis de faire du commerce(2).
Le texte du permis de faire du commerce peut être trouvé dans plusieurs livres, en particulier dans l’abrégé du Choul’han Arou’h édité par le Rav Feldman. Pour ce qui vous concerne, il y a un contrat et cela est donc plus facile à réaliser que pour un simple prêt.
Si vous ne trouvez pas ce texte, il suffit d’écrire la mention : “ avec un permis de faire du commerce ”, ce qui sera suffisant jusqu’à ce qu’un Rav complète cette formule. Bien entendu, il est préférable que les mots “ avec un permis de faire du commerce ” apparaissent dans le contrat.
Si, pour une raison quelconque, cela n’est pas possible, vous pourrez écrire, sur un second feuillet : “ Le contrat entre telle et telle personne, conclu à telle date, est basé sur un permis de faire du commerce, en vertu de quoi nous signons, tel jour, tel mois, telle année, telle ville, témoignage de… témoignage de… ”.
Par la suite, il sera précisé : “ Tout ceci a été effectué devant nous, les témoins qui avons signé plus bas. Telle personne et telle personne se sont engagées devant nous et ont signé de leur main. Parole de un tel, témoin. Parole de un tel, témoins ”.
J’ai, avant tout, été satisfait de lire, dans votre lettre, que votre père se sent mieux. Puisse D.ieu faire qu’il aille de mieux en mieux et que vous me donniez de bonnes nouvelles également de toutes les autres personnes que vous aviez mentionnées dans votre lettre.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Le Rav I. N. Silver, de Detroit.
(2) Héter Isska, permettant de recevoir des intérêts, pour le prêt d’un capital, sous la forme de participation aux bénéfices réalisés.
12 Adar Richon 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Its’hak Noa’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce lundi, dans lequel vous évoquez la conclusion de ce contrat et le permis de faire du commerce(2).
Le texte du permis de faire du commerce peut être trouvé dans plusieurs livres, en particulier dans l’abrégé du Choul’han Arou’h édité par le Rav Feldman. Pour ce qui vous concerne, il y a un contrat et cela est donc plus facile à réaliser que pour un simple prêt.
Si vous ne trouvez pas ce texte, il suffit d’écrire la mention : “ avec un permis de faire du commerce ”, ce qui sera suffisant jusqu’à ce qu’un Rav complète cette formule. Bien entendu, il est préférable que les mots “ avec un permis de faire du commerce ” apparaissent dans le contrat.
Si, pour une raison quelconque, cela n’est pas possible, vous pourrez écrire, sur un second feuillet : “ Le contrat entre telle et telle personne, conclu à telle date, est basé sur un permis de faire du commerce, en vertu de quoi nous signons, tel jour, tel mois, telle année, telle ville, témoignage de… témoignage de… ”.
Par la suite, il sera précisé : “ Tout ceci a été effectué devant nous, les témoins qui avons signé plus bas. Telle personne et telle personne se sont engagées devant nous et ont signé de leur main. Parole de un tel, témoin. Parole de un tel, témoins ”.
J’ai, avant tout, été satisfait de lire, dans votre lettre, que votre père se sent mieux. Puisse D.ieu faire qu’il aille de mieux en mieux et que vous me donniez de bonnes nouvelles également de toutes les autres personnes que vous aviez mentionnées dans votre lettre.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Le Rav I. N. Silver, de Detroit.
(2) Héter Isska, permettant de recevoir des intérêts, pour le prêt d’un capital, sous la forme de participation aux bénéfices réalisés.