Lettre n° 5178
Par la grâce de D.ieu,
2 Adar Richon 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A mon regret, les plaintes formulées sur la manière dont vous assumez votre mission sacrée, dans le domaine de l’éducation, se poursuivent.
Vous connaissez pourtant les propos tranchés de nos Sages à propos des enfants qui se consacrent à l’étude, de la responsabilité et du mérite qui sont induits par cette activité.
Il est, en outre, un autre point, qui concerne les ‘Hassidim et les anciens élèves de la Yechiva. L’Admour Hazaken s’exprime, à la fin du premier chapitre de ses lois de l’étude de la Torah, en des termes véritablement effarants. Il dit qu’en réalité, un homme a la possibilité de se consacrer à cette sainte activité(1) uniquement du fait de l’assurance de nos Sages selon laquelle D.ieu n’exige qu’en fonction des forces qu’Il accorde(2).
Il en résulte que si, malgré tout cela, on reçoit l’information selon laquelle un ancien élève de la Yechiva ne ressent pas pleinement l’immense responsabilité qui lui incombe, du fait d’une telle activité et que ceci a un effet immédiat(3) sur sa classe, vous pouvez comprendre que l’on ait du mal à le croire.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Ne peut enseigner la Torah aux enfants.
(2) Sans les forces que D.ieu accorde, il serait impossible de mener à bien une telle activité.
(3) De relâchement.
2 Adar Richon 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A mon regret, les plaintes formulées sur la manière dont vous assumez votre mission sacrée, dans le domaine de l’éducation, se poursuivent.
Vous connaissez pourtant les propos tranchés de nos Sages à propos des enfants qui se consacrent à l’étude, de la responsabilité et du mérite qui sont induits par cette activité.
Il est, en outre, un autre point, qui concerne les ‘Hassidim et les anciens élèves de la Yechiva. L’Admour Hazaken s’exprime, à la fin du premier chapitre de ses lois de l’étude de la Torah, en des termes véritablement effarants. Il dit qu’en réalité, un homme a la possibilité de se consacrer à cette sainte activité(1) uniquement du fait de l’assurance de nos Sages selon laquelle D.ieu n’exige qu’en fonction des forces qu’Il accorde(2).
Il en résulte que si, malgré tout cela, on reçoit l’information selon laquelle un ancien élève de la Yechiva ne ressent pas pleinement l’immense responsabilité qui lui incombe, du fait d’une telle activité et que ceci a un effet immédiat(3) sur sa classe, vous pouvez comprendre que l’on ait du mal à le croire.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Ne peut enseigner la Torah aux enfants.
(2) Sans les forces que D.ieu accorde, il serait impossible de mener à bien une telle activité.
(3) De relâchement.