Lettre n° 5147
Par la grâce de D.ieu,
20 Chevat 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du lendemain de la Hilloula de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera(1). En un moment propice, je mentionnerai encore une fois votre nom et ceux des membres de votre famille, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins, en fonction de ce que vous écrivez.
Vous évoquez la répartition de vos biens, après cent vingt ans(2).
Vous connaissez les propos de mon beau-père, le Rabbi, énoncés dans différentes causeries, selon lesquels une telle attitude ne résiste pas à la logique(3). En effet, s’il s’agit d’une bonne chose(4), pourquoi la retarder jusqu’à après cent vingt ans ? D.ieu fasse que chaque Juif, au sein de tout Israël, ait de longs jours et de bonnes années. Ainsi, il pourra réaliser cette action positive lui-même, alors qu’il vit encore dans ce monde, ce qui lui assurera une longévité encore plus grande, puisqu’on sait que telle est la vertu de la Tsédaka.
Certes, il est dit que “ l’on n’y consacrera pas plus du cinquième(5) ”, ce qui n’est plus le cas après cent vingt ans(6). Néanmoins, tous s’accordent pour dire que ce cinquième peut effectivement être consacré à cela. En outre, il existe plusieurs situations dans lesquelles il est permis et il est même une grande Mitsva, une obligation de donner de la Tsédaka au-delà du cinquième.
Les Sages des dernières générations précisent quelles sont ces situations. Certaines sont également évoquées dans plusieurs passages d’Iguéret Ha Kodech, de l’Admour Hazaken. Vous consulterez, en particulier, la fin du chapitre 3 d’Iguéret Ha Techouva et le chapitre 10 d’Iguéret Ha Kodech. A quelqu’un comme vous, il est sûrement inutile d’en dire plus.
Je vous joins nos dernières publications. Vous en mettrez sûrement le contenu à la disposition du plus grand nombre. Le mérite de tous dépend de vous.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le 10 Chevat.
(2) Le testament, répartissant l’héritage.
(3) Voir Iguerot Kodech du précédent Rabbi, tome 8, lettres n°2156 et 2335.
(4) La répartition à de bonnes causes.
(5) De ses revenus à la Tsédaka.
(6) Dans l’héritage, cette limitation n’existe pas.
20 Chevat 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du lendemain de la Hilloula de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera(1). En un moment propice, je mentionnerai encore une fois votre nom et ceux des membres de votre famille, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins, en fonction de ce que vous écrivez.
Vous évoquez la répartition de vos biens, après cent vingt ans(2).
Vous connaissez les propos de mon beau-père, le Rabbi, énoncés dans différentes causeries, selon lesquels une telle attitude ne résiste pas à la logique(3). En effet, s’il s’agit d’une bonne chose(4), pourquoi la retarder jusqu’à après cent vingt ans ? D.ieu fasse que chaque Juif, au sein de tout Israël, ait de longs jours et de bonnes années. Ainsi, il pourra réaliser cette action positive lui-même, alors qu’il vit encore dans ce monde, ce qui lui assurera une longévité encore plus grande, puisqu’on sait que telle est la vertu de la Tsédaka.
Certes, il est dit que “ l’on n’y consacrera pas plus du cinquième(5) ”, ce qui n’est plus le cas après cent vingt ans(6). Néanmoins, tous s’accordent pour dire que ce cinquième peut effectivement être consacré à cela. En outre, il existe plusieurs situations dans lesquelles il est permis et il est même une grande Mitsva, une obligation de donner de la Tsédaka au-delà du cinquième.
Les Sages des dernières générations précisent quelles sont ces situations. Certaines sont également évoquées dans plusieurs passages d’Iguéret Ha Kodech, de l’Admour Hazaken. Vous consulterez, en particulier, la fin du chapitre 3 d’Iguéret Ha Techouva et le chapitre 10 d’Iguéret Ha Kodech. A quelqu’un comme vous, il est sûrement inutile d’en dire plus.
Je vous joins nos dernières publications. Vous en mettrez sûrement le contenu à la disposition du plus grand nombre. Le mérite de tous dépend de vous.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le 10 Chevat.
(2) Le testament, répartissant l’héritage.
(3) Voir Iguerot Kodech du précédent Rabbi, tome 8, lettres n°2156 et 2335.
(4) La répartition à de bonnes causes.
(5) De ses revenus à la Tsédaka.
(6) Dans l’héritage, cette limitation n’existe pas.