Lettre n° 5119
Par la grâce de D.ieu,
12 Chevat 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Yossef Barou’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été satisfait de vous rencontrer et d’échanger avec vous sur ce qui touche au renforcement des valeurs juives, en général et en particulier, sur l’éducation aux valeurs sacrées, le Mikwé et la pureté d’Israël.
En outre, je voudrais vous exprimer ici ma conviction profonde que D.ieu accordera la réussite à l’action menée dans ces domaines, dont vous êtes le responsable dans votre ville, vous dire combien il est important que vous-même, pour votre part et les ‘Hassidim se trouvant sur place, pour la leur, non seulement assumiez les engagements que vous avez pris jusqu’à maintenant, mais, bien plus, les augmentiez largement, conformément à l’enseignement de notre sainte Torah selon lequel on connaît l’élévation dans le domaine de la sainteté.
Les Sages ne connaissent pas le repos et ils s’élèvent, d’une étape vers l’autre. Vous connaissez le dicton de mon beau-père, le Rabbi(2), chef d’Israël, selon lequel, quand un Juif, ici-bas, prend l’engagement de donner à la Tsédaka un montant qui semble dépasser ses moyens, on lui ouvre aussitôt, là-haut, des moyens et des canaux nouveaux, afin qu’il puisse s’en acquitter pleinement.
Nous avons pu observer qu’il en était ainsi, dans des situations que nous avons observées. A n’en pas douter, il en sera de même pour vous, d’autant que les deux points ci-dessus(3) sont des piliers sur lesquels repose la maison d’Israël.
La Michna affirme qu’une Mitsva en attire une autre. Non seulement la première ne fait pas obstacle à la seconde, mais, bien au contraire, elle lui vient en aide. En conséquence, j’espère que vous adopterez les trois études qui concernent chacun, qui ont été diffusées par mon beau-père, le Rabbi parce qu’elles sont le fait de tous et ont de multiples apports positifs. Ce sont les suivantes :
A) Chaque matin, après la prière, on dira des Tehilim, selon leur répartition mensuelle.
B) On étudiera, chaque jour, une Paracha du ‘Houmach avec le commentaire de Rachi, de la Sidra de la semaine, le dimanche jusqu’au Chéni, le lundi jusqu’au Chelichi et ainsi de suite.
C) On étudiera, chaque jour, un passage du Tanya, selon sa répartition annuelle.
En un moment propice, je lirai votre demande de bénédiction près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi. D.ieu fasse que vous puissiez me donner de bonnes nouvelles, à ce sujet et également de tout ce qui a été dit plus haut.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav Y. B. Ossalko.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°4970.
(3) L’éducation des enfants et le Mikwé.
12 Chevat 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Yossef Barou’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été satisfait de vous rencontrer et d’échanger avec vous sur ce qui touche au renforcement des valeurs juives, en général et en particulier, sur l’éducation aux valeurs sacrées, le Mikwé et la pureté d’Israël.
En outre, je voudrais vous exprimer ici ma conviction profonde que D.ieu accordera la réussite à l’action menée dans ces domaines, dont vous êtes le responsable dans votre ville, vous dire combien il est important que vous-même, pour votre part et les ‘Hassidim se trouvant sur place, pour la leur, non seulement assumiez les engagements que vous avez pris jusqu’à maintenant, mais, bien plus, les augmentiez largement, conformément à l’enseignement de notre sainte Torah selon lequel on connaît l’élévation dans le domaine de la sainteté.
Les Sages ne connaissent pas le repos et ils s’élèvent, d’une étape vers l’autre. Vous connaissez le dicton de mon beau-père, le Rabbi(2), chef d’Israël, selon lequel, quand un Juif, ici-bas, prend l’engagement de donner à la Tsédaka un montant qui semble dépasser ses moyens, on lui ouvre aussitôt, là-haut, des moyens et des canaux nouveaux, afin qu’il puisse s’en acquitter pleinement.
Nous avons pu observer qu’il en était ainsi, dans des situations que nous avons observées. A n’en pas douter, il en sera de même pour vous, d’autant que les deux points ci-dessus(3) sont des piliers sur lesquels repose la maison d’Israël.
La Michna affirme qu’une Mitsva en attire une autre. Non seulement la première ne fait pas obstacle à la seconde, mais, bien au contraire, elle lui vient en aide. En conséquence, j’espère que vous adopterez les trois études qui concernent chacun, qui ont été diffusées par mon beau-père, le Rabbi parce qu’elles sont le fait de tous et ont de multiples apports positifs. Ce sont les suivantes :
A) Chaque matin, après la prière, on dira des Tehilim, selon leur répartition mensuelle.
B) On étudiera, chaque jour, une Paracha du ‘Houmach avec le commentaire de Rachi, de la Sidra de la semaine, le dimanche jusqu’au Chéni, le lundi jusqu’au Chelichi et ainsi de suite.
C) On étudiera, chaque jour, un passage du Tanya, selon sa répartition annuelle.
En un moment propice, je lirai votre demande de bénédiction près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi. D.ieu fasse que vous puissiez me donner de bonnes nouvelles, à ce sujet et également de tout ce qui a été dit plus haut.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav Y. B. Ossalko.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°4970.
(3) L’éducation des enfants et le Mikwé.