Lettre n° 5118
Par la grâce de D.ieu,
11 Chevat 5717,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Hillel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 6 Chevat et, en un moment propice, je mentionnerai le nom de cet homme, auquel D.ieu accordera longue vie, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que son état de santé s’améliore.
Vous connaissez le dicton de nos saints maîtres selon lequel, “ si l’on se dit que tout ira bien, tout ira effectivement bien ”. Combien plus s’applique-t-il à l’affection dont souffre cet homme, telle que vous la décrivez dans votre lettre et comme les médecins s’accordent tous pour la définir.
Vous trouverez sûrement les mots qui conviennent afin de lui expliquer qu’il faut placer sa confiance en D.ieu, selon ce qu’expliquent nos saints livres. Vous lui demanderez également de faire un ajout à la Torah et aux Mitsvot, en fonction de sa propre situation, même si elle est déjà satisfaisante. En effet, la Torah et les Mitsvot sont “ plus longues que la terre ” et “ Ta Mitsva est très large ”. Un ajout est donc toujours possible.
D’après ce qui est dit dans plusieurs discours ‘hassidiques, il est une certitude et une évidence qu’à l’âme de Moché, notre maître, montée là-haut et se trouvant dans le Gan Eden, s’applique également l’affirmation selon laquelle “ les Sages ne connaissent pas le repos, pas même dans le monde futur ”. Celui-ci étudie donc la Torah depuis plusieurs millénaires, bien qu’il l’ait lui-même reçue sur le Sinaï.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav H. Medalyé, de Leeds. Voir, à son sujet, la lettre n°4923.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°3316.
11 Chevat 5717,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Hillel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 6 Chevat et, en un moment propice, je mentionnerai le nom de cet homme, auquel D.ieu accordera longue vie, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que son état de santé s’améliore.
Vous connaissez le dicton de nos saints maîtres selon lequel, “ si l’on se dit que tout ira bien, tout ira effectivement bien ”. Combien plus s’applique-t-il à l’affection dont souffre cet homme, telle que vous la décrivez dans votre lettre et comme les médecins s’accordent tous pour la définir.
Vous trouverez sûrement les mots qui conviennent afin de lui expliquer qu’il faut placer sa confiance en D.ieu, selon ce qu’expliquent nos saints livres. Vous lui demanderez également de faire un ajout à la Torah et aux Mitsvot, en fonction de sa propre situation, même si elle est déjà satisfaisante. En effet, la Torah et les Mitsvot sont “ plus longues que la terre ” et “ Ta Mitsva est très large ”. Un ajout est donc toujours possible.
D’après ce qui est dit dans plusieurs discours ‘hassidiques, il est une certitude et une évidence qu’à l’âme de Moché, notre maître, montée là-haut et se trouvant dans le Gan Eden, s’applique également l’affirmation selon laquelle “ les Sages ne connaissent pas le repos, pas même dans le monde futur ”. Celui-ci étudie donc la Torah depuis plusieurs millénaires, bien qu’il l’ait lui-même reçue sur le Sinaï.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav H. Medalyé, de Leeds. Voir, à son sujet, la lettre n°4923.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°3316.