Lettre n° 5117
Par la grâce de D.ieu,
11 Chevat 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je suis peiné par la conclusion de votre lettre, dans laquelle vous me dites qu’il n’y a toujours rien de nouveau(1).
Faisant référence à un acte qui est interdit sans ambiguïté, nos Sages constatent que “ celui qui commet une faute une fois, puis une seconde fois, finit par la considérer comme un acte permis ”. J’ai bien peur qu’il en soit, a fortiori, ainsi pour ce qui vous concerne(2).
Vous vous occupez de tout cela uniquement pour vous acquitter d’une obligation, par habitude. Or, il est sûrement inutile de reproduire les enseignements de nos Sages relatifs à ce que vous faites et à sa valeur. Ils sont établis et bien connus.
De façon générale, la possibilité de trouver un bon parti transcende la nature et nos Sages la comparent au passage de la mer Rouge(3), ainsi qu’il est dit : “ Une femme avisée est accordée par D.ieu ”. Qu’il soit donc Sa Volonté, même si vous ne forgez pas de réceptacles naturels, de faire, en la matière, une intervention miraculeuse !
Notes
(1) Que le jeune homme destinataire de cette lettre n’est toujours pas fiancé.
(2) Que ce jeune homme s’installe dans une situation où il ne lui paraît plus absurde de ne pas chercher à se marier.
(3) Pour montrer à quel point l’union entre un homme et une femme est difficile à réaliser.
11 Chevat 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je suis peiné par la conclusion de votre lettre, dans laquelle vous me dites qu’il n’y a toujours rien de nouveau(1).
Faisant référence à un acte qui est interdit sans ambiguïté, nos Sages constatent que “ celui qui commet une faute une fois, puis une seconde fois, finit par la considérer comme un acte permis ”. J’ai bien peur qu’il en soit, a fortiori, ainsi pour ce qui vous concerne(2).
Vous vous occupez de tout cela uniquement pour vous acquitter d’une obligation, par habitude. Or, il est sûrement inutile de reproduire les enseignements de nos Sages relatifs à ce que vous faites et à sa valeur. Ils sont établis et bien connus.
De façon générale, la possibilité de trouver un bon parti transcende la nature et nos Sages la comparent au passage de la mer Rouge(3), ainsi qu’il est dit : “ Une femme avisée est accordée par D.ieu ”. Qu’il soit donc Sa Volonté, même si vous ne forgez pas de réceptacles naturels, de faire, en la matière, une intervention miraculeuse !
Notes
(1) Que le jeune homme destinataire de cette lettre n’est toujours pas fiancé.
(2) Que ce jeune homme s’installe dans une situation où il ne lui paraît plus absurde de ne pas chercher à se marier.
(3) Pour montrer à quel point l’union entre un homme et une femme est difficile à réaliser.