Lettre n° 5110
Par la grâce de D.ieu,
7 Chevat 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, qui n’était pas datée. Vous me faites part de ce qui vous est malheureusement arrivé(1). Pour l’heure, vous n’avez pas encore de fils.
Il faudrait vérifier si votre mariage n’a pas constitué une atteinte au respect dû à un Juif ou à une Juive(2), c’est-à-dire si une promesse n’avait pas été faite à un jeune homme ou à une jeune fille. De même, respectez-vous les lois de la pureté familiale, conformément aux enseignements de notre sainte Torah, Torah de vie ?
Si vous avez effectivement manqué de respect à un Juif ou à une Juive, il faudra lui demander pardon ou, tout au moins, le faire en présence de dix Juifs. Si votre respect de la pureté familiale n’a pas été conforme à ce qu’il devait être, il vous faut, bien évidemment, commencer par le regretter et prendre la bonne décision de vous conformer à ces lois, à l’avenir, dans toute la mesure de ce qui est nécessaire.
D.ieu, Qui sonde les cœurs, verra que vous avez pris une décision sincère. Votre faute disparaîtra et elle sera rachetée. Et, votre cœur se réjouira, en obtenant la satisfaction de votre requête.
En tout état de cause, il faut faire vérifier vos Tefillin, de même que les Mezouzot de votre maison, afin de s’assurer qu’elles soient cachères, conformément à la Hala’ha.
Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) Peut-être une fausse couche.
(2) Avec qui l’un ou l’autre aurait été préalablement fiancé et qui n’aurait pas pardonné la rupture de cet engagement.
7 Chevat 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, qui n’était pas datée. Vous me faites part de ce qui vous est malheureusement arrivé(1). Pour l’heure, vous n’avez pas encore de fils.
Il faudrait vérifier si votre mariage n’a pas constitué une atteinte au respect dû à un Juif ou à une Juive(2), c’est-à-dire si une promesse n’avait pas été faite à un jeune homme ou à une jeune fille. De même, respectez-vous les lois de la pureté familiale, conformément aux enseignements de notre sainte Torah, Torah de vie ?
Si vous avez effectivement manqué de respect à un Juif ou à une Juive, il faudra lui demander pardon ou, tout au moins, le faire en présence de dix Juifs. Si votre respect de la pureté familiale n’a pas été conforme à ce qu’il devait être, il vous faut, bien évidemment, commencer par le regretter et prendre la bonne décision de vous conformer à ces lois, à l’avenir, dans toute la mesure de ce qui est nécessaire.
D.ieu, Qui sonde les cœurs, verra que vous avez pris une décision sincère. Votre faute disparaîtra et elle sera rachetée. Et, votre cœur se réjouira, en obtenant la satisfaction de votre requête.
En tout état de cause, il faut faire vérifier vos Tefillin, de même que les Mezouzot de votre maison, afin de s’assurer qu’elles soient cachères, conformément à la Hala’ha.
Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) Peut-être une fausse couche.
(2) Avec qui l’un ou l’autre aurait été préalablement fiancé et qui n’aurait pas pardonné la rupture de cet engagement.