Lettre n° 5099
Par la grâce de D.ieu,
4 Chevat 5717,
Brooklyn,
Aux dirigeants de la caisse d’entraide,
auprès de la synagogue Karlin et Kouvrin(1),
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris, avec plaisir, par le grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, se consacre aux besoins communautaires, a de bons comportements, Rav Chlomo Zalman Hecht(2), que vous avez accepté sa proposition avec bienveillance et que vous accorderez donc votre aide à la caisse de bienfaisance du Collel ‘Habad, se trouvant dans la ville sainte de Jérusalem, qui sera restaurée et rebâtie par notre juste Machia’h. Il m’a également adressé votre chèque, destiné à cette caisse et vous trouverez, ci-joint, un reçu.
En un moment propice, je mentionnerai les noms de toutes les personnes se consacrant à cela, qui m’ont été transmis par le Rav Hecht Chlita, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que, pendant de nombreuses années encore, vous vous consacriez à ce qui concerne la Torah et les Mitsvot, en particulier à la Tsédaka, considérée, à elle seule, comme l’ensemble des Préceptes divins, comme l’explique longuement le chapitre 37 du saint Tanya.
Bien plus, cette Tsédaka constitue également un acte de bienfaisance, c’est-à-dire l’une de ses formes les plus élevées, comme l’explique le Choul’han Arou’h, Yoré Déa, chapitre 249, paragraphe 7(3).
D.ieu nous a fait savoir que “ celui qui a pitié du pauvre prête à D.ieu et Il le récompensera ”, selon les termes du verset Michlé 19, 17. Il est donc certain que chacun d’entre vous sera récompensé par la satisfaction de tous ses besoins, de même que de ceux des membres de sa famille, matériellement et spirituellement.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Vraisemblablement à Chicago.
(2) De Chicago. Voir, à son sujet, les lettres n°3930, 4765 et 4985.
(3) Puisque la Tsédaka est donnée uniquement au pauvre, alors qu’un prêt, acte de bienfaisance, peut être accordé à la fois au riche et au pauvre.
4 Chevat 5717,
Brooklyn,
Aux dirigeants de la caisse d’entraide,
auprès de la synagogue Karlin et Kouvrin(1),
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris, avec plaisir, par le grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, se consacre aux besoins communautaires, a de bons comportements, Rav Chlomo Zalman Hecht(2), que vous avez accepté sa proposition avec bienveillance et que vous accorderez donc votre aide à la caisse de bienfaisance du Collel ‘Habad, se trouvant dans la ville sainte de Jérusalem, qui sera restaurée et rebâtie par notre juste Machia’h. Il m’a également adressé votre chèque, destiné à cette caisse et vous trouverez, ci-joint, un reçu.
En un moment propice, je mentionnerai les noms de toutes les personnes se consacrant à cela, qui m’ont été transmis par le Rav Hecht Chlita, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que, pendant de nombreuses années encore, vous vous consacriez à ce qui concerne la Torah et les Mitsvot, en particulier à la Tsédaka, considérée, à elle seule, comme l’ensemble des Préceptes divins, comme l’explique longuement le chapitre 37 du saint Tanya.
Bien plus, cette Tsédaka constitue également un acte de bienfaisance, c’est-à-dire l’une de ses formes les plus élevées, comme l’explique le Choul’han Arou’h, Yoré Déa, chapitre 249, paragraphe 7(3).
D.ieu nous a fait savoir que “ celui qui a pitié du pauvre prête à D.ieu et Il le récompensera ”, selon les termes du verset Michlé 19, 17. Il est donc certain que chacun d’entre vous sera récompensé par la satisfaction de tous ses besoins, de même que de ceux des membres de sa famille, matériellement et spirituellement.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Vraisemblablement à Chicago.
(2) De Chicago. Voir, à son sujet, les lettres n°3930, 4765 et 4985.
(3) Puisque la Tsédaka est donnée uniquement au pauvre, alors qu’un prêt, acte de bienfaisance, peut être accordé à la fois au riche et au pauvre.