Lettre n° 5069
Par la grâce de D.ieu,
22 Tévet 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Israël David(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris avec plaisir, lors d’une discussion avec le Rav Cohen, que celui-ci vous rencontre de temps à autre et que vous lui venez en aide, dans son commerce, en particulier pour ce qui concerne les pierres précieuses.
Il est sûrement inutile de vous souligner à quel point cela est important, comme l’établit la Hala’ha, faisant référence à celui qui fournit du travail aux autres. J’espère qu’à l’avenir, non seulement vous poursuivrez en ce sens, mais, bien sûr, vous développerez tout cela, plus souvent et pour des montants plus importants.
M’en remettant à l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ on conseille l’empressement à ceux qui le possèdent naturellement ”, je vous écris, néanmoins, tout ceci, afin d’en souligner l’importance. Vous consulterez également le Choul’han Arou’h, Yoré Déa, se basant sur les traités Chabbat 63a, Pessa’him 53b, sur la Michna, à la fin du traité Horayot, qui dit : “ Le Cohen a la préséance ” et d’autres textes encore.
Je vous adresse ma bénédiction afin que vous gagniez plus largement votre vie. De la sorte, s’accomplira en vous le dicton bien connu de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, selon lequel : “ D.ieu accorde aux Juifs des biens matériels, afin qu’ils en fassent de la spiritualité ”.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles, en tout ce qui vient d’être dit et pour les actions positives que vous menez dans le but d’élargir la Yechiva que vous avez fondée, quantitativement et qualitativement,
Notes
(1) Le Rav I. D. Glick, de Far Rockaway.
(2) En l’occurrence, il s’agit bien de favoriser un Cohen.
22 Tévet 5717,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Israël David(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai appris avec plaisir, lors d’une discussion avec le Rav Cohen, que celui-ci vous rencontre de temps à autre et que vous lui venez en aide, dans son commerce, en particulier pour ce qui concerne les pierres précieuses.
Il est sûrement inutile de vous souligner à quel point cela est important, comme l’établit la Hala’ha, faisant référence à celui qui fournit du travail aux autres. J’espère qu’à l’avenir, non seulement vous poursuivrez en ce sens, mais, bien sûr, vous développerez tout cela, plus souvent et pour des montants plus importants.
M’en remettant à l’affirmation de nos Sages selon laquelle “ on conseille l’empressement à ceux qui le possèdent naturellement ”, je vous écris, néanmoins, tout ceci, afin d’en souligner l’importance. Vous consulterez également le Choul’han Arou’h, Yoré Déa, se basant sur les traités Chabbat 63a, Pessa’him 53b, sur la Michna, à la fin du traité Horayot, qui dit : “ Le Cohen a la préséance ” et d’autres textes encore.
Je vous adresse ma bénédiction afin que vous gagniez plus largement votre vie. De la sorte, s’accomplira en vous le dicton bien connu de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, selon lequel : “ D.ieu accorde aux Juifs des biens matériels, afin qu’ils en fassent de la spiritualité ”.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles, en tout ce qui vient d’être dit et pour les actions positives que vous menez dans le but d’élargir la Yechiva que vous avez fondée, quantitativement et qualitativement,
Notes
(1) Le Rav I. D. Glick, de Far Rockaway.
(2) En l’occurrence, il s’agit bien de favoriser un Cohen.