Lettre n° 5007
Par la grâce de D.ieu,
6 Tévet 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 28 Kislev, avec la demande de bénédiction qui s’y trouvait et qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Entre temps, vous avez sûrement reçu ma réponse à vos précédents courriers.
Vous évoquez le livre Torat Maassé Béréchit(1). Ce qui était dit à son propos n’était pas une affirmation péremptoire. La justification en était aussitôt donnée, avec des références et ce qui a été écrit n’est qu’une toute petite partie de ce que l’on pourrait dire, à ce sujet. Il s’agit, en effet, d’un livre effroyable, comme le montrent les exemples cités dans la lettre.
Vous évoquez une petite fille qui est atteinte d’épilepsie et de crampes. Je ne comprends pas ce que vous voulez dire, car il s’agit de deux affections différentes et, en tout état de cause, l’une et l’autre reçoivent un traitement médical efficace. Ils consulteront donc des médecins spécialistes et se conformeront à leurs prescriptions.
Comme vous le savez, notre coutume(2), différente de celle qui est introduite par quelques uns des derniers Sages(3), consiste à écrire, pour une femme(4), “ en tous ses membres(5) ”. En effet, il y a plusieurs avis, dans le Talmud, quant au nombre de membres du corps d’une femme.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°4660.
(2) Le Rabbi note, en bas de page : “ Traité Be’horot 45a, Chaar Ha Collel, chapitre 26 ”.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°4156.
(4) Quand on demande une bénédiction de guérison.
(5) Et, non “ en ses deux cent quarante huit membres ”.
6 Tévet 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 28 Kislev, avec la demande de bénédiction qui s’y trouvait et qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Entre temps, vous avez sûrement reçu ma réponse à vos précédents courriers.
Vous évoquez le livre Torat Maassé Béréchit(1). Ce qui était dit à son propos n’était pas une affirmation péremptoire. La justification en était aussitôt donnée, avec des références et ce qui a été écrit n’est qu’une toute petite partie de ce que l’on pourrait dire, à ce sujet. Il s’agit, en effet, d’un livre effroyable, comme le montrent les exemples cités dans la lettre.
Vous évoquez une petite fille qui est atteinte d’épilepsie et de crampes. Je ne comprends pas ce que vous voulez dire, car il s’agit de deux affections différentes et, en tout état de cause, l’une et l’autre reçoivent un traitement médical efficace. Ils consulteront donc des médecins spécialistes et se conformeront à leurs prescriptions.
Comme vous le savez, notre coutume(2), différente de celle qui est introduite par quelques uns des derniers Sages(3), consiste à écrire, pour une femme(4), “ en tous ses membres(5) ”. En effet, il y a plusieurs avis, dans le Talmud, quant au nombre de membres du corps d’une femme.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Voir, à ce sujet, la lettre n°4660.
(2) Le Rabbi note, en bas de page : “ Traité Be’horot 45a, Chaar Ha Collel, chapitre 26 ”.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°4156.
(4) Quand on demande une bénédiction de guérison.
(5) Et, non “ en ses deux cent quarante huit membres ”.