Lettre n° 4895
Par la grâce de D.ieu,
3 Kislev 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 21 ‘Hechvan, dans laquelle vous me dites que vous vous trouvez en Terre Sainte depuis quelques temps et que vous y gagnez votre vie. En revanche, vous n’avez pas encore pu vous marier, bien que vous soyez dans ce pays depuis quatre ans et que vous ayez multiplié les efforts, dans ce domaine.
De façon générale, quand on ne trouve pas le parti qui convient, malgré les efforts véritables qu’on a pu faire, c’est que l’on recherche, chez la jeune fille, ce qui est tout à fait accessoire. De la sorte, on oublie que la perfection n’existe pas, au sein de la création, y compris chez le jeune homme ou la jeune fille.
Il y a lieu de penser que c’est bien le cas, pour ce qui vous concerne. Consacrez-vous donc uniquement à ce qui est essentiel ou, tout au plus, à ce qui vient juste après l’essentiel, mais non à ce qui est totalement insignifiant. Alors, le Créateur du monde, Qui le dirige, vous trouvera un bon parti.
Vous vous trouvez dans le “ pays vers lequel toujours sont tournées les yeux de D.ieu, du début de l’année à la fin de l’année ”. Et, l’on peut observer concrètement que là se rendent, pour se marier, ceux qui n’ont rien trouvé ailleurs. A mon sens, il n’y a donc pas lieu que vous alliez, vous-même, dans un autre endroit afin d’y rechercher un parti.
Vous connaissez sûrement les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Vous les adopterez, au moins à l’avenir.
Vous commencez votre lettre en me disant que vous aviez un lien avec mon beau-père, le Rabbi. J’ai donc bon espoir que vous maintenez ce lien, au moyen d’une étude fixée de ‘Hassidout et en participant aux réunions des ‘Hassidim.
Que D.ieu vous accorde la réussite en tout ce qui vient d’être dit.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
3 Kislev 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 21 ‘Hechvan, dans laquelle vous me dites que vous vous trouvez en Terre Sainte depuis quelques temps et que vous y gagnez votre vie. En revanche, vous n’avez pas encore pu vous marier, bien que vous soyez dans ce pays depuis quatre ans et que vous ayez multiplié les efforts, dans ce domaine.
De façon générale, quand on ne trouve pas le parti qui convient, malgré les efforts véritables qu’on a pu faire, c’est que l’on recherche, chez la jeune fille, ce qui est tout à fait accessoire. De la sorte, on oublie que la perfection n’existe pas, au sein de la création, y compris chez le jeune homme ou la jeune fille.
Il y a lieu de penser que c’est bien le cas, pour ce qui vous concerne. Consacrez-vous donc uniquement à ce qui est essentiel ou, tout au plus, à ce qui vient juste après l’essentiel, mais non à ce qui est totalement insignifiant. Alors, le Créateur du monde, Qui le dirige, vous trouvera un bon parti.
Vous vous trouvez dans le “ pays vers lequel toujours sont tournées les yeux de D.ieu, du début de l’année à la fin de l’année ”. Et, l’on peut observer concrètement que là se rendent, pour se marier, ceux qui n’ont rien trouvé ailleurs. A mon sens, il n’y a donc pas lieu que vous alliez, vous-même, dans un autre endroit afin d’y rechercher un parti.
Vous connaissez sûrement les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Vous les adopterez, au moins à l’avenir.
Vous commencez votre lettre en me disant que vous aviez un lien avec mon beau-père, le Rabbi. J’ai donc bon espoir que vous maintenez ce lien, au moyen d’une étude fixée de ‘Hassidout et en participant aux réunions des ‘Hassidim.
Que D.ieu vous accorde la réussite en tout ce qui vient d’être dit.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,