Lettre n° 4889
Par la grâce de D.ieu,
2 Kislev 5717,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
aux multiples connaissances, le Rav Yossef(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu le Divreï Issa’har Divreï Yossef et je vous en remercie.
A l’occasion qui convient, sans doute ferez-vous parvenir les autres livres(2) à la bibliothèque qui se trouve près de moi. En effet, je n’en dispose pas. Je vous en remercie d’avance.
En signe d’amitié et conformément à l’enseignement de nos Sages selon lequel “ toutes les discussions sont négatives, mais celles de la Torah sont bonnes ”, j’ai rédigé, ci-après, quelques notes en feuilletant rapidement ce livre, en fonction du temps dont je dispose. Et, comme le disent nos Sages, la paix règne à la fin(3).
Avec mes respects et ma bénédiction,
Début de l’introduction du Divreï Yossef : “ Pendant la nuit, Léa elle-même était Ra’hel ” : Vous verrez le Taameï Ha Mitsvot de Rabbi ‘Haïm Vital, à la Parchat Tétsé, qui fait référence à l’interdiction du prix de la mauvaise femme. En l’occurrence, les signes que Ra’hel transmit à Léa furent une partie de son âme. C’est pour cela qu’elle était elle-même Ra’hel.
A ce propos :
A) S’agissant des signes et d’une autre femme, vous consulterez le ‘Hessed Le Avraham, seconde source, fleuve, chapitre 1, de même que le commentaire du Riva sur la Torah, à cette référence.
B) Le Cheviveï Noga que vous citez figure dans le Pardès, comme l’indiquent les références. Vous consulterez la longue explication se trouvant à la porte 13.
Fin de l’introduction : “ Les quatre pierres ” : Le Yalkout Chimeoni, Yov, au paragraphe 899, cité par le Yalkout Réouveni, à cette référence, voit, en cela, une référence à ses quatre épouses(4).
Ceci correspond à l’explication selon laquelle les douze pierres évoquent les douze tribus. Ces deux commentaires soulignent qu’il eut “ une couche entière ”.
Début du Divreï Yossef : “ Son comportement n’était pas bon. Selon le Maguid, il s’agit d’une interdiction des Sages ” : Il faut considérer qu’il n’en est pas ainsi uniquement pour le Maguid. Car, un comportement qui n’est pas bon est pire qu’une interdiction des Sages. Il s’agit d’une manière d’agir qui n’est pas positive.
Fin du Divreï Yossef : “ L’avis du Rambam sur le port des vêtements du Cohen en dehors du moment du service ” : On peut s’interroger sur cette affirmation, car le Rambam affirme qu’il a droit d’en tirer profit, même avant le service de D.ieu, sauf pour la ceinture, qu’il n’est pas autorisé à porter, car elle comporte du Chaatnez(5), selon le Kleï Ha Mikdach, chapitre 8, paragraphes 11 et 12.
Vous consulterez les Tossafot Yechénim sur le traité Yoma 69a. Néanmoins, votre explication correspond à ce que disent les Tossafot, au traité Yoma.
Notes
(1) Le Rav Y. Hirsch, de Brooklyn.
(2) Publiés par le destinataire de cette lettre.
(3) Le destinataire de cette lettre ne tiendra donc pas rigueur au Rabbi de ces remarques.
(4) Celles de Yaakov.
(5) Un mélange de laine et de lin.
2 Kislev 5717,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
aux multiples connaissances, le Rav Yossef(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu le Divreï Issa’har Divreï Yossef et je vous en remercie.
A l’occasion qui convient, sans doute ferez-vous parvenir les autres livres(2) à la bibliothèque qui se trouve près de moi. En effet, je n’en dispose pas. Je vous en remercie d’avance.
En signe d’amitié et conformément à l’enseignement de nos Sages selon lequel “ toutes les discussions sont négatives, mais celles de la Torah sont bonnes ”, j’ai rédigé, ci-après, quelques notes en feuilletant rapidement ce livre, en fonction du temps dont je dispose. Et, comme le disent nos Sages, la paix règne à la fin(3).
Avec mes respects et ma bénédiction,
Début de l’introduction du Divreï Yossef : “ Pendant la nuit, Léa elle-même était Ra’hel ” : Vous verrez le Taameï Ha Mitsvot de Rabbi ‘Haïm Vital, à la Parchat Tétsé, qui fait référence à l’interdiction du prix de la mauvaise femme. En l’occurrence, les signes que Ra’hel transmit à Léa furent une partie de son âme. C’est pour cela qu’elle était elle-même Ra’hel.
A ce propos :
A) S’agissant des signes et d’une autre femme, vous consulterez le ‘Hessed Le Avraham, seconde source, fleuve, chapitre 1, de même que le commentaire du Riva sur la Torah, à cette référence.
B) Le Cheviveï Noga que vous citez figure dans le Pardès, comme l’indiquent les références. Vous consulterez la longue explication se trouvant à la porte 13.
Fin de l’introduction : “ Les quatre pierres ” : Le Yalkout Chimeoni, Yov, au paragraphe 899, cité par le Yalkout Réouveni, à cette référence, voit, en cela, une référence à ses quatre épouses(4).
Ceci correspond à l’explication selon laquelle les douze pierres évoquent les douze tribus. Ces deux commentaires soulignent qu’il eut “ une couche entière ”.
Début du Divreï Yossef : “ Son comportement n’était pas bon. Selon le Maguid, il s’agit d’une interdiction des Sages ” : Il faut considérer qu’il n’en est pas ainsi uniquement pour le Maguid. Car, un comportement qui n’est pas bon est pire qu’une interdiction des Sages. Il s’agit d’une manière d’agir qui n’est pas positive.
Fin du Divreï Yossef : “ L’avis du Rambam sur le port des vêtements du Cohen en dehors du moment du service ” : On peut s’interroger sur cette affirmation, car le Rambam affirme qu’il a droit d’en tirer profit, même avant le service de D.ieu, sauf pour la ceinture, qu’il n’est pas autorisé à porter, car elle comporte du Chaatnez(5), selon le Kleï Ha Mikdach, chapitre 8, paragraphes 11 et 12.
Vous consulterez les Tossafot Yechénim sur le traité Yoma 69a. Néanmoins, votre explication correspond à ce que disent les Tossafot, au traité Yoma.
Notes
(1) Le Rav Y. Hirsch, de Brooklyn.
(2) Publiés par le destinataire de cette lettre.
(3) Le destinataire de cette lettre ne tiendra donc pas rigueur au Rabbi de ces remarques.
(4) Celles de Yaakov.
(5) Un mélange de laine et de lin.