Lettre n° 4863
Par la grâce de D.ieu,
24 Mar ‘Hechvan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce mercredi, avec la demande de bénédiction qui y était jointe. Vous me dites que votre état de santé n’est pas ce qu’il devrait être.
Puisse D.ieu faire que vous vous engagiez, avec la même ardeur, dans l’amélioration de votre état de santé morale, tout comme vous vous êtes fatigué, jusqu’à maintenant, pour gagner votre vie, d’après ce que vous écrivez dans votre lettre. Votre santé physique s’en trouverait aussitôt améliorée.
Bien entendu, cela n’exclut pas de se conformer aux instructions du médecin. En effet, “ la Torah a accordé au médecin la possibilité de guérir ”, de sorte que celui-ci agit en tant qu’émissaire de D.ieu(1). Pour autant, il faut, bien sûr, se méfier de ne pas prendre l’essentiel pour accessoire et l’accessoire pour essentiel(2).
Bien plus, vous avez eu le mérite d’étudier, pendant plusieurs années, à la Yechiva Tom’heï Temimim. Or, les paroles des Justes(3) et leurs actions sont immuables. Elles exercent leur effet, par les forces cachées, puis par les forces révélées et par les vêtements de l’âme que sont les pensées, les paroles et les actions.
Sans doute continuerez-vous à me faire connaître l’avis émis par les médecins, après les examens que vous mentionnez. Puisse D.ieu faire que vous ayez bientôt de bonnes nouvelles à me donner.
Vous gardez sûrement les trois études bien connues, qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Désormais, vous fixerez également une étude supplémentaire, qui portera sur la ‘Hassidout, “ l’arbre de vie ”.
Puisse D.ieu faire que s’accomplisse bientôt en vous la promesse selon laquelle “ celui qui accomplit la Torah…(4) en viendra à le faire dans la richesse ” matérielle et spirituelle.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
M. Schneerson,
Notes
(1) En vertu de cette possibilité qui lui a été accordée.
(2) De ne pas placer le traitement médical avant la bénédiction divine.
(3) Qui ont fondé cette Yechiva.
(4) Dans la pauvreté.
24 Mar ‘Hechvan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce mercredi, avec la demande de bénédiction qui y était jointe. Vous me dites que votre état de santé n’est pas ce qu’il devrait être.
Puisse D.ieu faire que vous vous engagiez, avec la même ardeur, dans l’amélioration de votre état de santé morale, tout comme vous vous êtes fatigué, jusqu’à maintenant, pour gagner votre vie, d’après ce que vous écrivez dans votre lettre. Votre santé physique s’en trouverait aussitôt améliorée.
Bien entendu, cela n’exclut pas de se conformer aux instructions du médecin. En effet, “ la Torah a accordé au médecin la possibilité de guérir ”, de sorte que celui-ci agit en tant qu’émissaire de D.ieu(1). Pour autant, il faut, bien sûr, se méfier de ne pas prendre l’essentiel pour accessoire et l’accessoire pour essentiel(2).
Bien plus, vous avez eu le mérite d’étudier, pendant plusieurs années, à la Yechiva Tom’heï Temimim. Or, les paroles des Justes(3) et leurs actions sont immuables. Elles exercent leur effet, par les forces cachées, puis par les forces révélées et par les vêtements de l’âme que sont les pensées, les paroles et les actions.
Sans doute continuerez-vous à me faire connaître l’avis émis par les médecins, après les examens que vous mentionnez. Puisse D.ieu faire que vous ayez bientôt de bonnes nouvelles à me donner.
Vous gardez sûrement les trois études bien connues, qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Désormais, vous fixerez également une étude supplémentaire, qui portera sur la ‘Hassidout, “ l’arbre de vie ”.
Puisse D.ieu faire que s’accomplisse bientôt en vous la promesse selon laquelle “ celui qui accomplit la Torah…(4) en viendra à le faire dans la richesse ” matérielle et spirituelle.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
M. Schneerson,
Notes
(1) En vertu de cette possibilité qui lui a été accordée.
(2) De ne pas placer le traitement médical avant la bénédiction divine.
(3) Qui ont fondé cette Yechiva.
(4) Dans la pauvreté.