Lettre n° 4820
Par la grâce de D.ieu,
9 ‘Hechvan 5717,
Brooklyn, New York,
A l’attention du professeur Avraham Its’hak(1) Ha Cohen,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, rédigée avant votre voyage. Je n’y ai pas répondu, ne sachant pas quand vous alliez rentrer. C’est ainsi que ma réponse à été retardée jusqu’à maintenant. Prochainement, nous nous rencontrerons et je n’évoquerai donc ici que brièvement le contenu de votre courrier(2).
Vous m’interrogez sur l’interdiction d’épouser les Natinim(3). Vous dites que, selon certains avis, cette interdiction découle de l’application du verset : “ car il détournera ton fils ”.
Il s’agit, en l’occurrence, de rechercher la source de l’affirmation du Coran, écrit par quelqu’un qui était ignorant en matière de Judaïsme et, en la matière, ne reçut, par d’autres personnes, que quelques connaissances décousues. Les contradictions qu’il y a dans le Coran permettent de l’établir.
Il en résulte que les sources de ces connaissances doivent être simples et faciles à établir. En l’occurrence, tout cela(4) est clairement dit, par exemple dans Mala’hi. Comme je le précisais dans ma lettre, je ne vois donc pas pourquoi il faudrait imaginer qu’il discute l’avis des premiers Sages ou même de ceux de la Guemara et qu’il tranche leurs discussions
Concernant le jeûne du Ramadan, je n’ai pas honte de dire que j’apprends qu’il compte quarante jours. J’ai toujours pensé qu’il en avait trente, selon la durée du mois.
Nos dernières publications vous ont été adressées, par envoi séparé. A n’en pas douter, elles susciteront votre intérêt.
Avec mes respects et ma bénédiction,
Notes
(1) Le professeur A. I. Kats. Voir, à son sujet, la lettre n°4209.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°4209.
(3) Dont le roi David n’accepta pas l’appartenance au Judaïsme et qu’il distingua en en faisant des puiseurs d’eau et des coupeurs de bois, afin qu’ils ne soient pas intégrés au peuple d’Israël.
(4) Ce qui concerne les Natinim.
9 ‘Hechvan 5717,
Brooklyn, New York,
A l’attention du professeur Avraham Its’hak(1) Ha Cohen,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, rédigée avant votre voyage. Je n’y ai pas répondu, ne sachant pas quand vous alliez rentrer. C’est ainsi que ma réponse à été retardée jusqu’à maintenant. Prochainement, nous nous rencontrerons et je n’évoquerai donc ici que brièvement le contenu de votre courrier(2).
Vous m’interrogez sur l’interdiction d’épouser les Natinim(3). Vous dites que, selon certains avis, cette interdiction découle de l’application du verset : “ car il détournera ton fils ”.
Il s’agit, en l’occurrence, de rechercher la source de l’affirmation du Coran, écrit par quelqu’un qui était ignorant en matière de Judaïsme et, en la matière, ne reçut, par d’autres personnes, que quelques connaissances décousues. Les contradictions qu’il y a dans le Coran permettent de l’établir.
Il en résulte que les sources de ces connaissances doivent être simples et faciles à établir. En l’occurrence, tout cela(4) est clairement dit, par exemple dans Mala’hi. Comme je le précisais dans ma lettre, je ne vois donc pas pourquoi il faudrait imaginer qu’il discute l’avis des premiers Sages ou même de ceux de la Guemara et qu’il tranche leurs discussions
Concernant le jeûne du Ramadan, je n’ai pas honte de dire que j’apprends qu’il compte quarante jours. J’ai toujours pensé qu’il en avait trente, selon la durée du mois.
Nos dernières publications vous ont été adressées, par envoi séparé. A n’en pas douter, elles susciteront votre intérêt.
Avec mes respects et ma bénédiction,
Notes
(1) Le professeur A. I. Kats. Voir, à son sujet, la lettre n°4209.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°4209.
(3) Dont le roi David n’accepta pas l’appartenance au Judaïsme et qu’il distingua en en faisant des puiseurs d’eau et des coupeurs de bois, afin qu’ils ne soient pas intégrés au peuple d’Israël.
(4) Ce qui concerne les Natinim.