Lettre n° 4816
Par la grâce de D.ieu,
6 Mar ‘Hechvan 5717,
Brooklyn,
Au jeune Its’hak Tsvi(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 29 Tichri.
Je mentionnerai, en un moment propice, tous ceux que vous citez, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que votre frère ‘Hananya Yossef accepte pleinement le joug de la royauté divine, en célébrant sa Bar Mitsva. En bonne santé, il grandira et sera un ‘Hassid, craignant D.ieu et érudit de la Torah.
Vous m’interrogez sur un enseignement de mon beau-père, le Rabbi, figurant dans le Hayom Yom, qui concerne la date à laquelle on commence à porter les Tefillin. En effet, il n’est pas dit pendant combien de temps(2) on les met sans bénédiction et, plus généralement, pourquoi on commence par les mettre sans dire cette bénédiction.
On peut expliquer simplement qu’on le fait jusqu’à ce que l’on s’habitue à bien les mettre, conformément à la Mitsva, faute de quoi il s’agirait d’une bénédiction inutile. Or, tous ne sont pas semblables, en la matière. C’est pour cela qu’un temps n’a pas été fixé pour les mettre sans bénédiction(3).
Je suis surpris que vous n’évoquiez pas, dans votre lettre, les activités du mois de Tichri, en particulier dans le cadre des jeunes de l’association ‘Habad.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,
Notes
(1) Le Rav I. T. Eisenbach, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°4551.
(2) Avant la Bar Mitsva.
(3) Celui-ci variant avec la dextérité de chaque enfant.
6 Mar ‘Hechvan 5717,
Brooklyn,
Au jeune Its’hak Tsvi(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 29 Tichri.
Je mentionnerai, en un moment propice, tous ceux que vous citez, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que votre frère ‘Hananya Yossef accepte pleinement le joug de la royauté divine, en célébrant sa Bar Mitsva. En bonne santé, il grandira et sera un ‘Hassid, craignant D.ieu et érudit de la Torah.
Vous m’interrogez sur un enseignement de mon beau-père, le Rabbi, figurant dans le Hayom Yom, qui concerne la date à laquelle on commence à porter les Tefillin. En effet, il n’est pas dit pendant combien de temps(2) on les met sans bénédiction et, plus généralement, pourquoi on commence par les mettre sans dire cette bénédiction.
On peut expliquer simplement qu’on le fait jusqu’à ce que l’on s’habitue à bien les mettre, conformément à la Mitsva, faute de quoi il s’agirait d’une bénédiction inutile. Or, tous ne sont pas semblables, en la matière. C’est pour cela qu’un temps n’a pas été fixé pour les mettre sans bénédiction(3).
Je suis surpris que vous n’évoquiez pas, dans votre lettre, les activités du mois de Tichri, en particulier dans le cadre des jeunes de l’association ‘Habad.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,
Notes
(1) Le Rav I. T. Eisenbach, de Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°4551.
(2) Avant la Bar Mitsva.
(3) Celui-ci variant avec la dextérité de chaque enfant.