Lettre n° 4799
Par la grâce de D.ieu,
2 Mar ‘Hechvan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je profite de la présente, rédigée au jour où l’on dit le Ta’hanoun, pour la première fois, après plusieurs semaines(1), pour noter un récit ‘hassidique dont je me suis souvenu. Le ‘Hassid, grand Rav et Juste, Rabbi Hillel de Paritch, ne disait pas le Psaume Al Neharot, qui précède la bénédiction concluant le repas(2), même en ces jours. Il expliquait que le Ta’hanoun est alors lui-même un invité, en l’honneur duquel on peut dire le Chir Ha Maalot(3).
Ce récit ‘hassidique, comme tous les autres, délivre un enseignement, qui est le suivant. La lecture du Ta’hanoun, la confession, “ nous avons fauté ” est également réjouissante, pour celui qui sert D.ieu, s’il médite à Son grand Bienfait, accordant à l’homme la possibilité de rectifier son passé.
Bien plus, il n’en est pas ainsi uniquement pour le comportement, à l’avenir. C’est aussi le moyen de déraciner le passé et d’obtenir, selon l’expression de nos Sages, “ la transformation des fautes intentionnellement commises en bienfaits ”.
Avec ma bénédiction de bonne santé et de réussite dans l’éducation des enfants juifs aux valeurs sacrées,
Notes
(1) Depuis la veille de Yom Kippour.
(2) Un jour de semaine, pendant lequel on dit le Ta’hanoun.
(3) Le Psaume qui remplace Al Neharot, quand le Ta’hanoun n’est pas dit.
2 Mar ‘Hechvan 5717,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je profite de la présente, rédigée au jour où l’on dit le Ta’hanoun, pour la première fois, après plusieurs semaines(1), pour noter un récit ‘hassidique dont je me suis souvenu. Le ‘Hassid, grand Rav et Juste, Rabbi Hillel de Paritch, ne disait pas le Psaume Al Neharot, qui précède la bénédiction concluant le repas(2), même en ces jours. Il expliquait que le Ta’hanoun est alors lui-même un invité, en l’honneur duquel on peut dire le Chir Ha Maalot(3).
Ce récit ‘hassidique, comme tous les autres, délivre un enseignement, qui est le suivant. La lecture du Ta’hanoun, la confession, “ nous avons fauté ” est également réjouissante, pour celui qui sert D.ieu, s’il médite à Son grand Bienfait, accordant à l’homme la possibilité de rectifier son passé.
Bien plus, il n’en est pas ainsi uniquement pour le comportement, à l’avenir. C’est aussi le moyen de déraciner le passé et d’obtenir, selon l’expression de nos Sages, “ la transformation des fautes intentionnellement commises en bienfaits ”.
Avec ma bénédiction de bonne santé et de réussite dans l’éducation des enfants juifs aux valeurs sacrées,
Notes
(1) Depuis la veille de Yom Kippour.
(2) Un jour de semaine, pendant lequel on dit le Ta’hanoun.
(3) Le Psaume qui remplace Al Neharot, quand le Ta’hanoun n’est pas dit.