Lettre n° 4742
Par la grâce de D.ieu,
Jours de Seli’hot 5716,
Brooklyn, New York,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Moché Klein,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre et je vous en remercie.
Et, à l’occasion de la nouvelle année, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien et pour la bénédiction, j’exprime ma bénédiction, à vous et à tous les vôtres, afin que vous soyez inscrits et scellés pour une bonne et douce année, matériellement et spirituellement.
Avec mes respects et ma bénédiction,
M. Schneerson,
En marge de votre lettre, vous notez que le ‘Ho’hmat Chlomo(1), du Rachak(2), ne mentionne pas les propos du Ramban, dans son commentaire de la Torah et du Ritva, sur le traité Kiddouchin 22a, selon lesquels le maître est tenu, selon une disposition de la Torah, d’assurer la subsistance de l’épouse(3), bien que le mari soit tenu de nourrir son épouse seulement par une disposition de nos Sages, puisqu’il est de coutume, pour chaque homme, d’assurer sa subsistance.
Je ne dispose pas de ce livre. Néanmoins, j’ai toujours eu des difficultés à comprendre le raisonnement du Ramban et du Ritva. En effet, ceux-ci écartent plusieurs déductions faites par nos Sages. Ainsi, comment comprendre les Lois importantes qui sont énoncées au traité Bera’hot 31a ? Comment déduire que l’endeuillé doit se couvrir la tête, comme le précise le traité Moéd Kattan 15a et 27b ?
Notes
(1) Qui s’étonne de l’avis des Décisionnaires déduisant du traité Kiddouchin 22a que seul une décision des Sages fait obligation à l’homme d’assurer la subsistance de son épouse. En effet, le verset dit : “ Son épouse sera libérée avec lui ”, ce qui veut dire que le maître est tenu d’assurer la subsistance de l’épouse de son serviteur.
(2) Le Rav Chlomo Kluger.
(3) Du serviteur.
Jours de Seli’hot 5716,
Brooklyn, New York,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Moché Klein,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre et je vous en remercie.
Et, à l’occasion de la nouvelle année, qui approche, pour nous et pour tout Israël, pour le bien et pour la bénédiction, j’exprime ma bénédiction, à vous et à tous les vôtres, afin que vous soyez inscrits et scellés pour une bonne et douce année, matériellement et spirituellement.
Avec mes respects et ma bénédiction,
M. Schneerson,
En marge de votre lettre, vous notez que le ‘Ho’hmat Chlomo(1), du Rachak(2), ne mentionne pas les propos du Ramban, dans son commentaire de la Torah et du Ritva, sur le traité Kiddouchin 22a, selon lesquels le maître est tenu, selon une disposition de la Torah, d’assurer la subsistance de l’épouse(3), bien que le mari soit tenu de nourrir son épouse seulement par une disposition de nos Sages, puisqu’il est de coutume, pour chaque homme, d’assurer sa subsistance.
Je ne dispose pas de ce livre. Néanmoins, j’ai toujours eu des difficultés à comprendre le raisonnement du Ramban et du Ritva. En effet, ceux-ci écartent plusieurs déductions faites par nos Sages. Ainsi, comment comprendre les Lois importantes qui sont énoncées au traité Bera’hot 31a ? Comment déduire que l’endeuillé doit se couvrir la tête, comme le précise le traité Moéd Kattan 15a et 27b ?
Notes
(1) Qui s’étonne de l’avis des Décisionnaires déduisant du traité Kiddouchin 22a que seul une décision des Sages fait obligation à l’homme d’assurer la subsistance de son épouse. En effet, le verset dit : “ Son épouse sera libérée avec lui ”, ce qui veut dire que le maître est tenu d’assurer la subsistance de l’épouse de son serviteur.
(2) Le Rav Chlomo Kluger.
(3) Du serviteur.