Lettre n° 4673
Par la grâce de D.ieu,
1er Elloul 5716,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 21 Mena’hem Av, dans laquelle vous me donnez la raison et l’explication du fait que vous ne participiez plus, dernièrement, aux activités de l’organisation des femmes et jeunes filles ‘Habad, en particulier. Ceci est la conséquence de l’avis qui vous a été donné par les médecins.
Il est bien évident que l’on doit se conformer aux prescriptions des médecins. Nos Sages, de sainte mémoire, soulignent que “ la Torah a autorisé le médecin à guérir ”. Pour autant, une activité qui a pour but de réunir des personnes, dont on sait qu’elle est utile à un certain cercle, spirituellement, matériellement ou les deux à la fois, ne peut pas affaiblir la personne qui la réalise. Bien plus, celle-ci s’en trouve renforcée, non seulement dans la dimension morale, mais aussi, de la manière la plus littérale, en son état de santé. Les médecins eux-mêmes reconnaissent qu’il en est ainsi. Ils conseillent donc à chacun d’être actif, en fonction de sa situation.
Si l’on tient compte de tout ce qui vient d’être dit, voici mon avis sur la question que vous posez.
Vous devez prendre une part active aux réalisations des femmes et jeunes filles ‘Habad, y compris, par exemple, à celles qui sont au profit de la Yechiva A’heï Temimim de Tel Aviv. On peut sans doute faire en sorte que vous n’ayez pas à monter des marches, puisque vous écrivez que cela ne vous est pas facile.
Je suis convaincu que, si vous vous concertez avec votre médecin, qui a constaté que vous allez mieux qu’auparavant, et c’est précisément pour cela que vous suivez ses prescriptions, il vous confirmera pleinement tout ce qui vient d’être dit.
Bien plus, nous savons qu’en agissant de manière positive envers son prochain, on élargit les bénédictions de D.ieu, en tous ses besoins, pour celui qui agit de la sorte et pour tous les membres de sa famille.
Il est sûrement inutile de vous rappeler l’enseignement de la ‘Hassidout selon lequel toute chose doit être accomplie joyeusement. De la sorte, la réussite sera plus grande.
Je vous adresse ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit et d’être inscrite et scellée pour une bonne année, avec tous les vôtres.
1er Elloul 5716,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 21 Mena’hem Av, dans laquelle vous me donnez la raison et l’explication du fait que vous ne participiez plus, dernièrement, aux activités de l’organisation des femmes et jeunes filles ‘Habad, en particulier. Ceci est la conséquence de l’avis qui vous a été donné par les médecins.
Il est bien évident que l’on doit se conformer aux prescriptions des médecins. Nos Sages, de sainte mémoire, soulignent que “ la Torah a autorisé le médecin à guérir ”. Pour autant, une activité qui a pour but de réunir des personnes, dont on sait qu’elle est utile à un certain cercle, spirituellement, matériellement ou les deux à la fois, ne peut pas affaiblir la personne qui la réalise. Bien plus, celle-ci s’en trouve renforcée, non seulement dans la dimension morale, mais aussi, de la manière la plus littérale, en son état de santé. Les médecins eux-mêmes reconnaissent qu’il en est ainsi. Ils conseillent donc à chacun d’être actif, en fonction de sa situation.
Si l’on tient compte de tout ce qui vient d’être dit, voici mon avis sur la question que vous posez.
Vous devez prendre une part active aux réalisations des femmes et jeunes filles ‘Habad, y compris, par exemple, à celles qui sont au profit de la Yechiva A’heï Temimim de Tel Aviv. On peut sans doute faire en sorte que vous n’ayez pas à monter des marches, puisque vous écrivez que cela ne vous est pas facile.
Je suis convaincu que, si vous vous concertez avec votre médecin, qui a constaté que vous allez mieux qu’auparavant, et c’est précisément pour cela que vous suivez ses prescriptions, il vous confirmera pleinement tout ce qui vient d’être dit.
Bien plus, nous savons qu’en agissant de manière positive envers son prochain, on élargit les bénédictions de D.ieu, en tous ses besoins, pour celui qui agit de la sorte et pour tous les membres de sa famille.
Il est sûrement inutile de vous rappeler l’enseignement de la ‘Hassidout selon lequel toute chose doit être accomplie joyeusement. De la sorte, la réussite sera plus grande.
Je vous adresse ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit et d’être inscrite et scellée pour une bonne année, avec tous les vôtres.