Lettre n° 4663

[28 Mena’hem Av 5716]

Je fais réponse à votre lettre de ce jeudi, dans laquelle vous me faites part de votre pensée qui s’égare, ce qui peut survenir lorsqu’il ne convient pas qu’il en soit ainsi.

Vous connaissez l’affirmation qui figure dans plusieurs passages du Tanya, en particulier le chapitre 28, que vous consulterez et dans Iguéret Ha Kodech, à la fin du chapitre 25, à la page 141a.

L’une des pratiques qu’il convient d’adopter, à ce sujet, est de prier et d’étudier avec un livre. Même si, pour vous approfondir, il vous faut réfléchir par cœur, vous maintiendrez ouvert ce livre, dans lequel figure l’idée que vous apprenez.

Quand vous sentirez votre pensée s’envoler, vous en observerez les mots. Ceux-ci retiendront votre attention et ils vous éclaireront.