Lettre n° 4632
Par la grâce de D.ieu,
18 Mena’hem Av 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, m’annonçant une bonne nouvelle, les fiançailles imminentes de votre fils. Puisse D.ieu faire que vous observiez la Providence divine, que vous adoptiez les conclusions qui s’imposent, en la matière, c’est-à-dire la nécessité qu’il conduise sa vie sur le chemin de la Torah et des Mitsvot, avec intégrité. “ Le résultat est à la mesure de l’effort ”(1) et il a donc reçu toutes les forces nécessaires pour cela. Tout ne dépend que de sa volonté.
Je suis surpris que vous ne disiez rien de votre participation aux actions de ‘Habad. J’ai peur d’avancer qu’en l’occurrence, s’applique le dicton bien connu selon lequel, lorsque le père s’écarte d’un pas, le fils le fait de plusieurs pas.
Je veux dire qu’en vous tenant à distance des réalisations de ‘Habad, en vous abstenant de toute action positive, d’une participation intégrale, vous écartez votre domaine, de plusieurs pas, du domaine de ‘Habad. Mais, vous connaissez la causerie de mon beau-père, le Rabbi, précisant l’enseignement que l’on peut tirer de Pessa’h Chéni(2) : “ Il n’est jamais trop tard ”(3). Vous devez comprendre ce que je veux dire.
Sans doute le mariage sera-t-il célébré rapidement. Plus tôt il aura lieu et mieux cela sera.
Avec ma bénédiction de Mazal Tov et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) Textuellement “ la trace, sur le dos du chameau, dépend du poids du fardeau ”.
(2) Obtenu à la demande des Juifs qui n’avaient pu offrir le premier.
(3) Rien n’est jamais définitivement perdu.
18 Mena’hem Av 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, m’annonçant une bonne nouvelle, les fiançailles imminentes de votre fils. Puisse D.ieu faire que vous observiez la Providence divine, que vous adoptiez les conclusions qui s’imposent, en la matière, c’est-à-dire la nécessité qu’il conduise sa vie sur le chemin de la Torah et des Mitsvot, avec intégrité. “ Le résultat est à la mesure de l’effort ”(1) et il a donc reçu toutes les forces nécessaires pour cela. Tout ne dépend que de sa volonté.
Je suis surpris que vous ne disiez rien de votre participation aux actions de ‘Habad. J’ai peur d’avancer qu’en l’occurrence, s’applique le dicton bien connu selon lequel, lorsque le père s’écarte d’un pas, le fils le fait de plusieurs pas.
Je veux dire qu’en vous tenant à distance des réalisations de ‘Habad, en vous abstenant de toute action positive, d’une participation intégrale, vous écartez votre domaine, de plusieurs pas, du domaine de ‘Habad. Mais, vous connaissez la causerie de mon beau-père, le Rabbi, précisant l’enseignement que l’on peut tirer de Pessa’h Chéni(2) : “ Il n’est jamais trop tard ”(3). Vous devez comprendre ce que je veux dire.
Sans doute le mariage sera-t-il célébré rapidement. Plus tôt il aura lieu et mieux cela sera.
Avec ma bénédiction de Mazal Tov et dans l’attente de vos bonnes nouvelles,
Notes
(1) Textuellement “ la trace, sur le dos du chameau, dépend du poids du fardeau ”.
(2) Obtenu à la demande des Juifs qui n’avaient pu offrir le premier.
(3) Rien n’est jamais définitivement perdu.