Lettre n° 4607
Par la grâce de D.ieu,
7 Mena’hem Av 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 3 Mena’hem Av, dans laquelle vous faites état de la proposition qui vous a été faite par le ‘Hassid, Rav Its’hak Gansburg, celle d’assumer des fonctions dans les écoles Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch, en notre Terre Sainte.
Vous avez accepté cette proposition et vous lui avez fait part de votre décision, par écrit. Puis, vous avez été saisi par le doute car, on vous propose de rester là où vous travailliez auparavant. Or, vous avez donné votre accord par écrit et ce document se trouve maintenant chez le Rav I. Gansburg, directeur de l’école. Si l’on vous demande de changer d’avis, en la matière, vous devez donc orienter ceux qui s’adressent à vous vers le Rav Gansburg. Il est clair que, sans son consentement, vous ne pouvez pas revenir sur votre engagement.
A quelqu’un comme vous, il est sans doute inutile de souligner qu’en tout temps et en tout lieu, s’applique l’enseignement de nos Sages selon lequel la crainte de D.ieu doit précéder la sagesse. Combien plus est-ce le cas, en cette génération orpheline et dans le pays “ vers lequel toujours sont tournés les yeux de D.ieu, du début de l’année à la fin de l’année ”(1).
Tout ceci doit se trouver, en permanence, face aux yeux de l’éducateur et du professeur, quelle que soit la discipline qu’il enseigne(2). Le début de la sagesse reste la crainte de D.ieu. Vous devez saisir chaque occasion et même la susciter, pour insuffler la crainte et l’amour de D.ieu aux élèves.
Ceci sera un élément très fort pour qu’ils saisissent au mieux cet enseignement. Avec la réflexion qui convient, on peut toujours trouver un moyen de mettre tout cela en pratique.
Avec mes bénédictions de bonnes nouvelles et de réussite,
Notes
(1) En Erets Israël.
(2) Y compris les matières séculaires.
7 Mena’hem Av 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 3 Mena’hem Av, dans laquelle vous faites état de la proposition qui vous a été faite par le ‘Hassid, Rav Its’hak Gansburg, celle d’assumer des fonctions dans les écoles Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch, en notre Terre Sainte.
Vous avez accepté cette proposition et vous lui avez fait part de votre décision, par écrit. Puis, vous avez été saisi par le doute car, on vous propose de rester là où vous travailliez auparavant. Or, vous avez donné votre accord par écrit et ce document se trouve maintenant chez le Rav I. Gansburg, directeur de l’école. Si l’on vous demande de changer d’avis, en la matière, vous devez donc orienter ceux qui s’adressent à vous vers le Rav Gansburg. Il est clair que, sans son consentement, vous ne pouvez pas revenir sur votre engagement.
A quelqu’un comme vous, il est sans doute inutile de souligner qu’en tout temps et en tout lieu, s’applique l’enseignement de nos Sages selon lequel la crainte de D.ieu doit précéder la sagesse. Combien plus est-ce le cas, en cette génération orpheline et dans le pays “ vers lequel toujours sont tournés les yeux de D.ieu, du début de l’année à la fin de l’année ”(1).
Tout ceci doit se trouver, en permanence, face aux yeux de l’éducateur et du professeur, quelle que soit la discipline qu’il enseigne(2). Le début de la sagesse reste la crainte de D.ieu. Vous devez saisir chaque occasion et même la susciter, pour insuffler la crainte et l’amour de D.ieu aux élèves.
Ceci sera un élément très fort pour qu’ils saisissent au mieux cet enseignement. Avec la réflexion qui convient, on peut toujours trouver un moyen de mettre tout cela en pratique.
Avec mes bénédictions de bonnes nouvelles et de réussite,
Notes
(1) En Erets Israël.
(2) Y compris les matières séculaires.