Lettre n° 4587

Par la grâce de D.ieu,
2 Mena’hem Av 5716,
Brooklyn,

Je vous salue et vous bénis,

Je fais réponse à votre lettre du 24 Tamouz. Je suis surpris de la longue interruption qu’il y a entre vos lettres et, en outre, en constatant que vous n’y dites rien de votre participation aux études publiques, de vos études personnelles et de votre diffusion des sources(1) jusqu’à ce qu’elles parviennent à l’extérieur.

Différents textes établissent pourtant que tout cela est le canal et les réceptacles, permettant d’attirer les bénédictions de D.ieu, en tous les besoins de l’homme et des membres de sa famille.

Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, tout se passe de la manière qui convient. Bien plus, votre situation sera conforme à ce que dit le chapitre 9 d’Iguéret Ha Techouva, selon lequel, quand on doit rectifier le passé, “ celui qui avait l’habitude de lire une page en lira deux ”(2).

Vous me dites que vous avez accepté le travail que l’on vous a proposé. Puisse D.ieu faire que vous connaissiez la réussite, en la matière. Vous l’assumerez d’une manière organisée et méthodique. Ainsi, vous procurerez de la satisfaction au fondateur du Kfar(3), qui le dirige, mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. En la matière, vous serez sûrement récompensé, avec les membres de votre famille, en tous vos besoins personnels.

Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, en bonne santé physique et morale,

Pour le Rabbi Chlita,

Notes

(1) De la ‘Hassidout.
(2) Il convient donc de redoubler d’ardeur dans les activités précédemment citées.
(3) Kfar ‘Habad.