Lettre n° 4567
Par la grâce de D.ieu,
25 Tamouz 5716,
Brooklyn,
Au jeune Na’hman(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre feuillet, accompagnant la lettre que vous avez reçue de votre ami.
En un moment propice, je mentionnerai son nom, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin qu’il invoque la miséricorde divine, pour que celui-ci obtienne la satisfaction de tous ses besoins.
Comme vous le savez, le Créateur du monde, Qui le dirige, enseigne que : “ Celui qui prétend ne pas avoir fait des efforts, mais avoir, néanmoins, connu le succès, ne le crois pas ”. Bien plus, il a été dit à chacun, au sein de tout le peuple d’Israël : “ Vois, J’ai placé devant toi la vie et le bien… et tu choisiras la vie ”. Il s’agit bien là d’un choix personnel, mais il est dit que “ l’on vient en aide à celui qui désire se purifier ”.
Puisse D.ieu faire que vous trouviez les mots qui conviennent pour expliquer à votre ami qu’il a reçu toutes les forces nécessaires afin d’être un réverbère, éclairant l’endroit où il se trouve actuellement, le canal apportant la lumière de la Torah, de même que la vitalité de la pratique des Mitsvot à tous ceux qui se trouvent dans son entourage.
En application de ce qui vient d’être dit, c’est bien cette voie qu’il doit choisir. Ainsi, il connaîtra la réussite, non seulement pour assumer la mission véritable qui lui est confiée, mais aussi pour accroître les bénédictions et la réussite, dans ses préoccupations personnelles.
Si, en tout lieu et de tout temps, un tel rôle multiplie la responsabilité et le mérite, combien plus est-ce le cas, dans le lieu où il se trouve, dans la situation qui est la sienne. Son implication, en la matière, est d’autant plus grande que les âmes de son père et des générations précédentes attendent et exigent cela de lui, en ces termes : “ Est-ce pour cela que nous avons fait le don de notre propre personne, parfois même chaque jour, pour la Torah et les Mitsvot, afin que mon fils…(2), qu’il dilapide une part importante de son temps dans des préoccupations insignifiantes, se justifiant par des explications auxquelles il ne croit pas lui-même ? ”.
Puisse D.ieu faire que le mérite de ses ancêtres protège votre ami et le place dans un rayon de lumière, afin qu’il éclaire également son entourage.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) N. Sudak, de Brooklyn.
(2) N’adopte pas le comportement prôné par la Torah.
25 Tamouz 5716,
Brooklyn,
Au jeune Na’hman(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre feuillet, accompagnant la lettre que vous avez reçue de votre ami.
En un moment propice, je mentionnerai son nom, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin qu’il invoque la miséricorde divine, pour que celui-ci obtienne la satisfaction de tous ses besoins.
Comme vous le savez, le Créateur du monde, Qui le dirige, enseigne que : “ Celui qui prétend ne pas avoir fait des efforts, mais avoir, néanmoins, connu le succès, ne le crois pas ”. Bien plus, il a été dit à chacun, au sein de tout le peuple d’Israël : “ Vois, J’ai placé devant toi la vie et le bien… et tu choisiras la vie ”. Il s’agit bien là d’un choix personnel, mais il est dit que “ l’on vient en aide à celui qui désire se purifier ”.
Puisse D.ieu faire que vous trouviez les mots qui conviennent pour expliquer à votre ami qu’il a reçu toutes les forces nécessaires afin d’être un réverbère, éclairant l’endroit où il se trouve actuellement, le canal apportant la lumière de la Torah, de même que la vitalité de la pratique des Mitsvot à tous ceux qui se trouvent dans son entourage.
En application de ce qui vient d’être dit, c’est bien cette voie qu’il doit choisir. Ainsi, il connaîtra la réussite, non seulement pour assumer la mission véritable qui lui est confiée, mais aussi pour accroître les bénédictions et la réussite, dans ses préoccupations personnelles.
Si, en tout lieu et de tout temps, un tel rôle multiplie la responsabilité et le mérite, combien plus est-ce le cas, dans le lieu où il se trouve, dans la situation qui est la sienne. Son implication, en la matière, est d’autant plus grande que les âmes de son père et des générations précédentes attendent et exigent cela de lui, en ces termes : “ Est-ce pour cela que nous avons fait le don de notre propre personne, parfois même chaque jour, pour la Torah et les Mitsvot, afin que mon fils…(2), qu’il dilapide une part importante de son temps dans des préoccupations insignifiantes, se justifiant par des explications auxquelles il ne croit pas lui-même ? ”.
Puisse D.ieu faire que le mérite de ses ancêtres protège votre ami et le place dans un rayon de lumière, afin qu’il éclaire également son entourage.
Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) N. Sudak, de Brooklyn.
(2) N’adopte pas le comportement prôné par la Torah.