Lettre n° 4510
Par la grâce de D.ieu,
6 Tamouz 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre écrite à l’issue du Chabbat, dans laquelle vous me dites que vous avez des difficultés à vous concentrer, pendant la prière. Néanmoins, vous ne me dites rien du temps que vous fixez pour l’étude de la Torah et, plus généralement, de la manière dont vous pratiquez les Mitsvot. Or, tout cela est lié(1). Sans doute m’apporterez-vous ces précisions, dans votre prochain courrier.
Concernant ce que vous évoquez, vous étudierez, avec la profondeur qui convient, le chapitre 28 du saint Tanya, qui répond clairement à votre question. De plus, comme l’expliquent d’autre livres, vous vous efforcerez de respecter l’immersion rituelle instituée par Ezra(2). Chaque jour de semaine, avant la prière du matin, vous donnerez quelques pièces à la Tsédaka. Et, vous garderez les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues.
Nos Sages nous ont précisé que D.ieu agit “ mesure pour mesure ”(3). Vous devez donc vous servir de l’influence que vous exercez dans le milieu où vous évoluez afin de diffuser l’esprit du Judaïsme, de sorte que ceux qui vous entourent intensifient leur pratique des Mitsvot, en particulier ceux à qui il fut dit, par deux fois : “ Ton camp sera saint ”.
Vous trouverez sans doute les mots qui conviennent pour expliquer tout cela. Les jeunes de l’association ‘Habad vous aideront, comme ils le pourront, si cela est nécessaire.
Votre sort est heureux, car la divine Providence vous a donné la possibilité d’influencer un certain milieu, de rapprocher encore plus les cœurs de notre Père Qui se trouve dans les cieux.
Avec ma bénédiction pour donner prochainement de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Le manque de concentration pendant la prière au manque d’étude ou de pratique.
(2) Après chaque relation conjugale et, plus généralement, chaque jour.
(3) De la manière dont on agit envers Lui.
6 Tamouz 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre écrite à l’issue du Chabbat, dans laquelle vous me dites que vous avez des difficultés à vous concentrer, pendant la prière. Néanmoins, vous ne me dites rien du temps que vous fixez pour l’étude de la Torah et, plus généralement, de la manière dont vous pratiquez les Mitsvot. Or, tout cela est lié(1). Sans doute m’apporterez-vous ces précisions, dans votre prochain courrier.
Concernant ce que vous évoquez, vous étudierez, avec la profondeur qui convient, le chapitre 28 du saint Tanya, qui répond clairement à votre question. De plus, comme l’expliquent d’autre livres, vous vous efforcerez de respecter l’immersion rituelle instituée par Ezra(2). Chaque jour de semaine, avant la prière du matin, vous donnerez quelques pièces à la Tsédaka. Et, vous garderez les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues.
Nos Sages nous ont précisé que D.ieu agit “ mesure pour mesure ”(3). Vous devez donc vous servir de l’influence que vous exercez dans le milieu où vous évoluez afin de diffuser l’esprit du Judaïsme, de sorte que ceux qui vous entourent intensifient leur pratique des Mitsvot, en particulier ceux à qui il fut dit, par deux fois : “ Ton camp sera saint ”.
Vous trouverez sans doute les mots qui conviennent pour expliquer tout cela. Les jeunes de l’association ‘Habad vous aideront, comme ils le pourront, si cela est nécessaire.
Votre sort est heureux, car la divine Providence vous a donné la possibilité d’influencer un certain milieu, de rapprocher encore plus les cœurs de notre Père Qui se trouve dans les cieux.
Avec ma bénédiction pour donner prochainement de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) Le manque de concentration pendant la prière au manque d’étude ou de pratique.
(2) Après chaque relation conjugale et, plus généralement, chaque jour.
(3) De la manière dont on agit envers Lui.