Lettre n° 4492
Par la grâce de D.ieu,
1er Tamouz 5716,
Brooklyn,
A la Rabbanit, madame Sarah(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 26 Sivan, dans laquelle vous évoquez la réunion de conclusion(2), avant la période des vacances.
On sait que l’une des raisons de la coutume juive voulant qu’on lise la Parchat Béréchit(3) aussitôt après avoir dit “ aux yeux de tout Israël ”(4) est la suivante. On souligne ainsi que l’on ne cesse jamais d’étudier la Torah, qu’une conclusion n’a pas de sens, en la matière. On peut en conclure qu’il en est de même pour la mission sacrée consistant à renforcer le Judaïsme et à le diffuser. Là encore, il n’y a pas de conclusion et l’on peut uniquement modifier la forme de son action, qui doit être conforme à chaque moment, à chaque époque, selon son contenu.
J’ai bon espoir que le groupement de Toronto des femmes et jeunes filles ‘Habad adoptera cette conception, c’est-à-dire que, lors de la fête de conclusion de l’action correspondant à la période de l’année scolaire, on traitera et l’on se préparera à l’action devant être menée pendant les vacances scolaires.
Au cours de quelques réunions ‘hassidiques, il a été dit que, pendant la période que l’on appelle “ vacances ”, l’éducation doit être encore plus intense. La responsabilité est alors augmentée car les chances de réussite sont plus grandes, dès lors que les élèves sont dispensés des études séculaires, détournant leur esprit des études sacrées et de ce qui les concerne. Et, il en est de même pour les parents(5).
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, en saluant les membres de votre groupement et leur famille,
Notes
(1) La Rabbanit S. Shochat, de Toronto. Voir, à son propos, la lettre n°4417.
(2) Des activités des femmes et jeunes filles ‘Habad de Toronto.
(3) Le début de la Torah, à Sim’hat Torah.
(4) Les derniers mots, la conclusion de la Torah.
(5) Qui sont aussi plus libres et donc plus réceptifs.
1er Tamouz 5716,
Brooklyn,
A la Rabbanit, madame Sarah(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 26 Sivan, dans laquelle vous évoquez la réunion de conclusion(2), avant la période des vacances.
On sait que l’une des raisons de la coutume juive voulant qu’on lise la Parchat Béréchit(3) aussitôt après avoir dit “ aux yeux de tout Israël ”(4) est la suivante. On souligne ainsi que l’on ne cesse jamais d’étudier la Torah, qu’une conclusion n’a pas de sens, en la matière. On peut en conclure qu’il en est de même pour la mission sacrée consistant à renforcer le Judaïsme et à le diffuser. Là encore, il n’y a pas de conclusion et l’on peut uniquement modifier la forme de son action, qui doit être conforme à chaque moment, à chaque époque, selon son contenu.
J’ai bon espoir que le groupement de Toronto des femmes et jeunes filles ‘Habad adoptera cette conception, c’est-à-dire que, lors de la fête de conclusion de l’action correspondant à la période de l’année scolaire, on traitera et l’on se préparera à l’action devant être menée pendant les vacances scolaires.
Au cours de quelques réunions ‘hassidiques, il a été dit que, pendant la période que l’on appelle “ vacances ”, l’éducation doit être encore plus intense. La responsabilité est alors augmentée car les chances de réussite sont plus grandes, dès lors que les élèves sont dispensés des études séculaires, détournant leur esprit des études sacrées et de ce qui les concerne. Et, il en est de même pour les parents(5).
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, en saluant les membres de votre groupement et leur famille,
Notes
(1) La Rabbanit S. Shochat, de Toronto. Voir, à son propos, la lettre n°4417.
(2) Des activités des femmes et jeunes filles ‘Habad de Toronto.
(3) Le début de la Torah, à Sim’hat Torah.
(4) Les derniers mots, la conclusion de la Torah.
(5) Qui sont aussi plus libres et donc plus réceptifs.