Lettre n° 4483
Par la grâce de D.ieu,
27 Sivan 5716,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Ye’hyel Mi’hel Yehouda Leïb(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 17 Sivan. Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez bientôt la suite des actions que vous décrivez dans votre lettre. Cette suite sera concrète et fixe. Et, cette fixité dans le temps et dans l’esprit, de la part des organisateurs, se renforcera et attirera ceux qui, pour l’heure, se disent qu’ils ne sont pas des ‘Hassidim.
Sans doute profiterez-vous, dans toute la mesure du possible, du fait que vous vous trouvez dans un lieu nouveau. Dans la mesure du possible et du nécessaire, vous influencerez ceux qui s’y trouvent, de sorte qu’à votre retour de là-bas, en un moment bon et fructueux, vous maintiendrez le contact(2) et vous serez le canal leur apportant la Torah et les Mitsvot, telles qu’elles sont illuminées par la lumière et la chaleur de la ‘Hassidout.
Puisse D.ieu faire que vous ayez une réussite considérable, que votre influence s’exerce sur vos disciples, qui, à leur tour, influenceront les autres. Conformément au dicton(3) bien connu de mon beau-père, le Rabbi, la perfection se marque avec la naissance du petit-fils(4). Il en est donc de même pour “ tes enfants (qui) sont tes élèves ”. La plénitude d’un guide spirituel est obtenue quand ses élèves forment, à leur tour, des élèves.
Vous consulterez la Tossefta, à la fin du traité Edouyot, citée dans l’épître de Rav Cherira Gaon et reproduite dans le Arou’h, à l’article Abbayé, de même que le Séfer Ha Yo’hassin, selon laquelle celui dont l’élève a un élève reçoit le titre de Rabban(5).
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav Y. M. Y. L. Zalmanov, de Bneï Brak. Voir, à ce sujet, la lettre n°4282.
(2) Avec ces personnes.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°4544.
(4) C’est-à-dire avec la troisième génération.
(5) Notre maître.
27 Sivan 5716,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Ye’hyel Mi’hel Yehouda Leïb(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 17 Sivan. Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez bientôt la suite des actions que vous décrivez dans votre lettre. Cette suite sera concrète et fixe. Et, cette fixité dans le temps et dans l’esprit, de la part des organisateurs, se renforcera et attirera ceux qui, pour l’heure, se disent qu’ils ne sont pas des ‘Hassidim.
Sans doute profiterez-vous, dans toute la mesure du possible, du fait que vous vous trouvez dans un lieu nouveau. Dans la mesure du possible et du nécessaire, vous influencerez ceux qui s’y trouvent, de sorte qu’à votre retour de là-bas, en un moment bon et fructueux, vous maintiendrez le contact(2) et vous serez le canal leur apportant la Torah et les Mitsvot, telles qu’elles sont illuminées par la lumière et la chaleur de la ‘Hassidout.
Puisse D.ieu faire que vous ayez une réussite considérable, que votre influence s’exerce sur vos disciples, qui, à leur tour, influenceront les autres. Conformément au dicton(3) bien connu de mon beau-père, le Rabbi, la perfection se marque avec la naissance du petit-fils(4). Il en est donc de même pour “ tes enfants (qui) sont tes élèves ”. La plénitude d’un guide spirituel est obtenue quand ses élèves forment, à leur tour, des élèves.
Vous consulterez la Tossefta, à la fin du traité Edouyot, citée dans l’épître de Rav Cherira Gaon et reproduite dans le Arou’h, à l’article Abbayé, de même que le Séfer Ha Yo’hassin, selon laquelle celui dont l’élève a un élève reçoit le titre de Rabban(5).
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav Y. M. Y. L. Zalmanov, de Bneï Brak. Voir, à ce sujet, la lettre n°4282.
(2) Avec ces personnes.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°4544.
(4) C’est-à-dire avec la troisième génération.
(5) Notre maître.