Lettre n° 4465
Par la grâce de D.ieu,
19 Sivan 5716,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et assume une mission sacrée,
le Rav Saadya(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 14 Sivan. Vous me dites que vous avez passé Lag Baomer et la fête de Chavouot dans la solitude(2). Cela est surprenant, car j’ai maintes fois rappelé ce que disent nos saints maîtres, dans différentes causeries. Chacun d’entre nous, là où il se trouve, doit se considérer comme un émissaire, non seulement pour mettre en pratique une certaine Mitsva, pendant quelques temps, ou même diffuser la ‘Hassidout et ses pratiques, mais aussi pour agir dans tous les domaines du Judaïsme où cela est possible.
Vous avez donc été concrètement nommé pour cela. Et, vous devez agir, de manière agréable et pacifique, en tel endroit et à tel moment. Dès lors, le résultat est à la mesure de l’effort(3). Vous avez passé plusieurs mois, plusieurs années à Sefrou. Est-il possible d’affirmer qu’il n’y ait personne parmi tous ceux qui y résident(4), en particulier ceux qui y assument une mission sacrée(5), avec qui vous puissiez échanger un mot ‘hassidique, ou même, plus encore, un enseignement de ‘Hassidout ? Là encore, il est sûrement inutile d’en dire plus.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela et pour connaître la réussite dans votre mission sacrée,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav S. Liberov, de Sefrou. Voir, à son sujet, la lettre n°4328.
(2) En l’absence d’autres ‘Hassidim ‘Habad dans la ville de Sefrou.
(3) Textuellement “ la trace, sur le dos du chameau, dépend du poids du fardeau ”.
(4) La communauté locale.
(5) Les rabbins et les enseignants.
19 Sivan 5716,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et assume une mission sacrée,
le Rav Saadya(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 14 Sivan. Vous me dites que vous avez passé Lag Baomer et la fête de Chavouot dans la solitude(2). Cela est surprenant, car j’ai maintes fois rappelé ce que disent nos saints maîtres, dans différentes causeries. Chacun d’entre nous, là où il se trouve, doit se considérer comme un émissaire, non seulement pour mettre en pratique une certaine Mitsva, pendant quelques temps, ou même diffuser la ‘Hassidout et ses pratiques, mais aussi pour agir dans tous les domaines du Judaïsme où cela est possible.
Vous avez donc été concrètement nommé pour cela. Et, vous devez agir, de manière agréable et pacifique, en tel endroit et à tel moment. Dès lors, le résultat est à la mesure de l’effort(3). Vous avez passé plusieurs mois, plusieurs années à Sefrou. Est-il possible d’affirmer qu’il n’y ait personne parmi tous ceux qui y résident(4), en particulier ceux qui y assument une mission sacrée(5), avec qui vous puissiez échanger un mot ‘hassidique, ou même, plus encore, un enseignement de ‘Hassidout ? Là encore, il est sûrement inutile d’en dire plus.
Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela et pour connaître la réussite dans votre mission sacrée,
M. Schneerson,
Notes
(1) Le Rav S. Liberov, de Sefrou. Voir, à son sujet, la lettre n°4328.
(2) En l’absence d’autres ‘Hassidim ‘Habad dans la ville de Sefrou.
(3) Textuellement “ la trace, sur le dos du chameau, dépend du poids du fardeau ”.
(4) La communauté locale.
(5) Les rabbins et les enseignants.