Lettre n° 4454
[15 Sivan 5716]
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 10 Sivan, dans laquelle vous évoquez votre mission sacrée, l’enseignement de notre Torah, Torah de vie, à des élèves attentifs. Cette étude est pénétrée de crainte de D.ieu et vous voyez les fruits de votre effort.
Sans doute, à la prochaine occasion, détaillerez-vous ce que vous faites pour implanter en eux la crainte de D.ieu, comme vous le mentionnez, dans votre lettre, en des termes très généraux. En effet, c’est lorsque la crainte de D.ieu précède la sagesse de l’élève que cette sagesse se maintient.
Combien plus en est-il ainsi en notre époque de confusion des esprits, alors que l’on falsifie les paroles de la Torah en prétendant qu’il est “ préférable de donner une permission ”(1) et non uniquement trois pratiques simultanément. L’enseignement suscitant la crainte de D.ieu est donc une nécessité absolue. Bien plus, sa nécessité ne se fait pas sentir uniquement au début de l’étude et pendant un court instant, au cours d’une causerie. Ceci doit faire partie du programme de la Yechiva, qui s’impose à chaque élève pendant un moment de la journée et qui sera dûment surveillé. La pratique montre à quel point tout cela est fondamental.
Vous évoquez ce qui vous concerne personnellement. Vous ferez donc vérifier vos Tefillin et votre épouse donnera quelques pièces à la Tsédaka, chaque lundi et jeudi de semaine. Elle en fera de même avant d’allumer les bougies à la veille du Chabbat et des fêtes. Elle donnera cette Tsédaka pour une école dispensant une éducation basée sur les valeurs sacrées. Ainsi, vous renforcerez votre confiance en le Créateur du monde et Il exaucera positivement le souhait de votre cœur, en vous accordant un enfant.
Vous voudrez bien saluer cette personne(2). J’aimerais savoir quelles sont les actions que cet homme réalise pour élever la Tradition d’Israël, car celles-ci sont indispensables en tout endroit, mais en particulier dans le pays “ vers lequel toujours sont tournés les yeux de D.ieu, du début de l’année à la fin de l’année ”(3).
Notes
(1) Qu’il faut condamner une trop grande rigueur, qui ne favorise pas la Techouva.
(2) Dont il était question dans la lettre écrite par le destinataire de la présente.
(3) En Erets Israël.
J’ai reçu, avec plaisir, votre lettre du 10 Sivan, dans laquelle vous évoquez votre mission sacrée, l’enseignement de notre Torah, Torah de vie, à des élèves attentifs. Cette étude est pénétrée de crainte de D.ieu et vous voyez les fruits de votre effort.
Sans doute, à la prochaine occasion, détaillerez-vous ce que vous faites pour implanter en eux la crainte de D.ieu, comme vous le mentionnez, dans votre lettre, en des termes très généraux. En effet, c’est lorsque la crainte de D.ieu précède la sagesse de l’élève que cette sagesse se maintient.
Combien plus en est-il ainsi en notre époque de confusion des esprits, alors que l’on falsifie les paroles de la Torah en prétendant qu’il est “ préférable de donner une permission ”(1) et non uniquement trois pratiques simultanément. L’enseignement suscitant la crainte de D.ieu est donc une nécessité absolue. Bien plus, sa nécessité ne se fait pas sentir uniquement au début de l’étude et pendant un court instant, au cours d’une causerie. Ceci doit faire partie du programme de la Yechiva, qui s’impose à chaque élève pendant un moment de la journée et qui sera dûment surveillé. La pratique montre à quel point tout cela est fondamental.
Vous évoquez ce qui vous concerne personnellement. Vous ferez donc vérifier vos Tefillin et votre épouse donnera quelques pièces à la Tsédaka, chaque lundi et jeudi de semaine. Elle en fera de même avant d’allumer les bougies à la veille du Chabbat et des fêtes. Elle donnera cette Tsédaka pour une école dispensant une éducation basée sur les valeurs sacrées. Ainsi, vous renforcerez votre confiance en le Créateur du monde et Il exaucera positivement le souhait de votre cœur, en vous accordant un enfant.
Vous voudrez bien saluer cette personne(2). J’aimerais savoir quelles sont les actions que cet homme réalise pour élever la Tradition d’Israël, car celles-ci sont indispensables en tout endroit, mais en particulier dans le pays “ vers lequel toujours sont tournés les yeux de D.ieu, du début de l’année à la fin de l’année ”(3).
Notes
(1) Qu’il faut condamner une trop grande rigueur, qui ne favorise pas la Techouva.
(2) Dont il était question dans la lettre écrite par le destinataire de la présente.
(3) En Erets Israël.