Lettre n° 4451
Par la grâce de D.ieu,
15 Sivan 5716,
Brooklyn,
Aux dirigeants du séminaire de jeunes filles de Kfar ‘Habad,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre du 20 Iyar, qui faisait suite à un silence particulièrement long. Vous me faites un compte-rendu de votre réunion envisageant l’avenir du séminaire et des décisions que vous avez prises, à cette occasion. J’ai bon espoir que, pendant les semaines qui se sont écoulées depuis lors, vous les avez mises en pratique, avec tout l’enthousiasme qui convient.
Puisse D.ieu faire que vous accomplissiez tout ce qui est dans vos moyens, que vous alliez même au-delà de vos possibilités, car la motivation d’un homme à faire le bien accroît ses capacités. Et, que la Présence de D.ieu se révèle dans l’action de vos mains, afin que vous ayez une réussite considérable.
L’importance de cette réalisation, la nécessité non seulement de la renforcer, mais aussi de la développer par tous les moyens, sont fondamentales, indispensables et l’on pourrait même dire vitales. Ce moment est propice pour multiplier les efforts en la matière, non seulement pour la prochaine année scolaire, qui commencera dans quelques mois, mais aussi pour l’été, dans l’intérêt de ce projet grand et élevé.
Bien évidemment, ma proposition de vous aider, sans en faire le vœu, reste valable, jusqu’à ce que l’école se structure également d’un point de vue matériel. Je suis convaincu que chaque ‘Hassid de Terre Sainte pouvant apporter sa contribution collaborera avec vous, afin de former une génération de jeunes filles qui feront la fierté et la gloire de ‘Habad, puis, le moment venu, qui bâtiront des foyers juifs, des édifices éternels.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles de tout cela, je conclus en vous adressant ma bénédiction pour une considérable réussite.
15 Sivan 5716,
Brooklyn,
Aux dirigeants du séminaire de jeunes filles de Kfar ‘Habad,
que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous salue et vous bénis,
Je viens de recevoir votre lettre du 20 Iyar, qui faisait suite à un silence particulièrement long. Vous me faites un compte-rendu de votre réunion envisageant l’avenir du séminaire et des décisions que vous avez prises, à cette occasion. J’ai bon espoir que, pendant les semaines qui se sont écoulées depuis lors, vous les avez mises en pratique, avec tout l’enthousiasme qui convient.
Puisse D.ieu faire que vous accomplissiez tout ce qui est dans vos moyens, que vous alliez même au-delà de vos possibilités, car la motivation d’un homme à faire le bien accroît ses capacités. Et, que la Présence de D.ieu se révèle dans l’action de vos mains, afin que vous ayez une réussite considérable.
L’importance de cette réalisation, la nécessité non seulement de la renforcer, mais aussi de la développer par tous les moyens, sont fondamentales, indispensables et l’on pourrait même dire vitales. Ce moment est propice pour multiplier les efforts en la matière, non seulement pour la prochaine année scolaire, qui commencera dans quelques mois, mais aussi pour l’été, dans l’intérêt de ce projet grand et élevé.
Bien évidemment, ma proposition de vous aider, sans en faire le vœu, reste valable, jusqu’à ce que l’école se structure également d’un point de vue matériel. Je suis convaincu que chaque ‘Hassid de Terre Sainte pouvant apporter sa contribution collaborera avec vous, afin de former une génération de jeunes filles qui feront la fierté et la gloire de ‘Habad, puis, le moment venu, qui bâtiront des foyers juifs, des édifices éternels.
Dans l’attente de vos bonnes nouvelles de tout cela, je conclus en vous adressant ma bénédiction pour une considérable réussite.