Lettre n° 4448
Par la grâce de D.ieu,
14 Sivan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre de l’issue du Chabbat Bamidbar et ce qu’elle contenait. Elle faisait suite à un long silence et puisse D.ieu faire qu’à l’avenir, vous ne m’annonciez que de bonnes nouvelles, toujours et tous les jours, d’un bien visible et tangible.
Il faudrait expliquer à votre épouse, à laquelle D.ieu accordera longue vie, qu’elle doit être heureuse et que vous devez vous-même l’être également, puisque la divine Providence vous a placé dans un rayon de lumière, à Kfar ‘Habad, un endroit qui se renforce et se développe. Je suis sûr que, peu à peu, il se développera encore plus quantitativement, qualitativement, matériellement. Il n’est pas de mots pour expliquer la récompense de chacun de ceux qui prennent part à une telle réalisation.
Vous me dites qu’elle est parfois saisie par la peur(1). Vous ferez donc vérifier les Mezouzot de votre maison, de même que vos Tefillin. Sans doute a-t-elle adopté la coutume positive des femmes juives vertueuses, consistant à donner de la Tsédaka avant d’allumer les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. En outre, elle en fera de même chaque jour, en donnant quelques pièces à la Tsédaka, le matin. Elle le fera jusqu’à la naissance, qui se passera en un moment bon et fructueux.
Puisse D.ieu faire qu’en la matière, vous et votre épouse donniez également de bonnes nouvelles. Bien évidemment, je suis intéressé par la réussite qu’elle connaît dans son travail(2) et par la manière dont elle exerce son influence sur les autres, en général et sur les élèves de l’école, en particulier.
Que D.ieu vous accorde la réussite.
Avec ma bénédiction pour donner bientôt de bonnes nouvelles de tout cela,
M. Schneerson,
Notes
(1) Suite à l’attentat perpétré à Kfar ‘Habad. Voir la lettre n°4281 et l’avant-propos.
(2) L’enseignement.
14 Sivan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre de l’issue du Chabbat Bamidbar et ce qu’elle contenait. Elle faisait suite à un long silence et puisse D.ieu faire qu’à l’avenir, vous ne m’annonciez que de bonnes nouvelles, toujours et tous les jours, d’un bien visible et tangible.
Il faudrait expliquer à votre épouse, à laquelle D.ieu accordera longue vie, qu’elle doit être heureuse et que vous devez vous-même l’être également, puisque la divine Providence vous a placé dans un rayon de lumière, à Kfar ‘Habad, un endroit qui se renforce et se développe. Je suis sûr que, peu à peu, il se développera encore plus quantitativement, qualitativement, matériellement. Il n’est pas de mots pour expliquer la récompense de chacun de ceux qui prennent part à une telle réalisation.
Vous me dites qu’elle est parfois saisie par la peur(1). Vous ferez donc vérifier les Mezouzot de votre maison, de même que vos Tefillin. Sans doute a-t-elle adopté la coutume positive des femmes juives vertueuses, consistant à donner de la Tsédaka avant d’allumer les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. En outre, elle en fera de même chaque jour, en donnant quelques pièces à la Tsédaka, le matin. Elle le fera jusqu’à la naissance, qui se passera en un moment bon et fructueux.
Puisse D.ieu faire qu’en la matière, vous et votre épouse donniez également de bonnes nouvelles. Bien évidemment, je suis intéressé par la réussite qu’elle connaît dans son travail(2) et par la manière dont elle exerce son influence sur les autres, en général et sur les élèves de l’école, en particulier.
Que D.ieu vous accorde la réussite.
Avec ma bénédiction pour donner bientôt de bonnes nouvelles de tout cela,
M. Schneerson,
Notes
(1) Suite à l’attentat perpétré à Kfar ‘Habad. Voir la lettre n°4281 et l’avant-propos.
(2) L’enseignement.