Lettre n° 4415
Par la grâce de D.ieu,
4 Sivan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de la veille du Chabbat, en plus des nouvelles qui m’ont été transmises par téléphone. C’est à ce propos que nos Sages délivrent un enseignement bien connu : “ Si nous en avions le mérite…, mais nous ne l’avons pas ”. Je veux dire que si vous vous préoccupiez de renforcer le Judaïsme et de le propager dans votre ville, assumant, en tant qu’élève(1) de la Yechiva Tom’heï Temimim, votre rôle de diffusion des sources de la ‘Hassidout, jusqu’à ce qu’elles parviennent à l’extérieur, vous m’écririez sans doute et me rapporteriez ce qui est lié au mérite et non ce qui cause de la peine. Néanmoins, vous n’avez pas ce mérite. En conséquence, vous me téléphonez et vous m’écrivez pour de tels objets.
Puisse D.ieu faire que cette allusion de la divine Providence vous suffise, que votre fils, auquel D.ieu accordera longue vie, guérisse très vite, car, à l’avenir, vous vous investirez en tout ce qui vient d’être dit. De la sorte, vous m’annoncerez souvent de bonnes nouvelles, de vos actions positives, de leurs fruits, de vos projets de les élargir, même si vous ne m’écrivez rien de tout cela depuis bien longtemps car votre activité s’est affaiblie.
En effet, rien ne résiste à la Techouva et, comme le disent nos Sages, cités dans le chapitre 9 d’Iguéret Ha Techouva, de l’Admour Hazaken : “ Si l’on avait l’habitude de lire une page, on en lira deux ”(2). Vous devez comprendre ce que je veux dire.
A l’occasion de la fête de Chavouot, qui approche, puissions-nous mériter, au sein de tout Israël, selon la formulation de notre maître, mon beau-père, le Rabbi, de recevoir la Torah avec joie et d’une manière profonde. Vous ferez contracter à votre fils, qui aura une longue vie, l’alliance de notre père Avraham(3) en un moment bon et fructueux.
Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête,
N. B. : Vous évoquez son nom(4). Vous savez que celui-ci doit recevoir l’accord des deux parents. L’enfant aura de longs jours et de bonnes années.
Notes
(1) Ancien élève.
(2) La Techouva conduit à doubler son action par rapport à ce que l’on accomplissait auparavant.
(3) Celle de la circoncision.
(4) Celui qu’il convient de donner au nouveau-né.
4 Sivan 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de la veille du Chabbat, en plus des nouvelles qui m’ont été transmises par téléphone. C’est à ce propos que nos Sages délivrent un enseignement bien connu : “ Si nous en avions le mérite…, mais nous ne l’avons pas ”. Je veux dire que si vous vous préoccupiez de renforcer le Judaïsme et de le propager dans votre ville, assumant, en tant qu’élève(1) de la Yechiva Tom’heï Temimim, votre rôle de diffusion des sources de la ‘Hassidout, jusqu’à ce qu’elles parviennent à l’extérieur, vous m’écririez sans doute et me rapporteriez ce qui est lié au mérite et non ce qui cause de la peine. Néanmoins, vous n’avez pas ce mérite. En conséquence, vous me téléphonez et vous m’écrivez pour de tels objets.
Puisse D.ieu faire que cette allusion de la divine Providence vous suffise, que votre fils, auquel D.ieu accordera longue vie, guérisse très vite, car, à l’avenir, vous vous investirez en tout ce qui vient d’être dit. De la sorte, vous m’annoncerez souvent de bonnes nouvelles, de vos actions positives, de leurs fruits, de vos projets de les élargir, même si vous ne m’écrivez rien de tout cela depuis bien longtemps car votre activité s’est affaiblie.
En effet, rien ne résiste à la Techouva et, comme le disent nos Sages, cités dans le chapitre 9 d’Iguéret Ha Techouva, de l’Admour Hazaken : “ Si l’on avait l’habitude de lire une page, on en lira deux ”(2). Vous devez comprendre ce que je veux dire.
A l’occasion de la fête de Chavouot, qui approche, puissions-nous mériter, au sein de tout Israël, selon la formulation de notre maître, mon beau-père, le Rabbi, de recevoir la Torah avec joie et d’une manière profonde. Vous ferez contracter à votre fils, qui aura une longue vie, l’alliance de notre père Avraham(3) en un moment bon et fructueux.
Avec ma bénédiction à l’occasion de la fête,
N. B. : Vous évoquez son nom(4). Vous savez que celui-ci doit recevoir l’accord des deux parents. L’enfant aura de longs jours et de bonnes années.
Notes
(1) Ancien élève.
(2) La Techouva conduit à doubler son action par rapport à ce que l’on accomplissait auparavant.
(3) Celle de la circoncision.
(4) Celui qu’il convient de donner au nouveau-né.