Lettre n° 4375
Par la grâce de D.ieu,
25 Iyar 5716,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Na’houm(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre. Comme vous me le demandez, je ferais mention de votre nom et de celui des membres de votre famille, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins.
Puisse D.ieu faire que vous vous consacriez, dans toute la mesure de vos moyens, au renforcement des valeurs juives, dans votre entourage proche et même éloigné, auprès de ceux qui reçoivent votre influence.
Comme vous le savez, nos Sages disent, à propos des enfants d’Israël : “ Je dors (en exil) mais mon cœur est en éveil pour le Saint béni soit-Il, Sa Torah et ses Mitsvot ”. Néanmoins, celui qui s’adresse à eux doit prononcer des paroles émanant du cœur, pénétrant dans le cœur de ceux qui les écoutent.
Lorsque l’on encourage et que l’on encourage encore, on finit par obtenir gain de cause, dans l’existence quotidienne. De plus, le bien n’a pas de limite et l’on peut toujours ajouter, améliorer, parfaire.
D.ieu fasse que vous agissiez de la sorte, en bonne santé et avec largesse d’esprit.
Avec ma bénédiction formulée selon l’expression courante de mon beau-père, le Rabbi, pour que vous receviez la Torah avec joie et d’une manière profonde(2),
Notes
(1) Le Rav N. Burstein.
(2) Lors de la fête de Chavouot.
25 Iyar 5716,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Na’houm(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre. Comme vous me le demandez, je ferais mention de votre nom et de celui des membres de votre famille, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins.
Puisse D.ieu faire que vous vous consacriez, dans toute la mesure de vos moyens, au renforcement des valeurs juives, dans votre entourage proche et même éloigné, auprès de ceux qui reçoivent votre influence.
Comme vous le savez, nos Sages disent, à propos des enfants d’Israël : “ Je dors (en exil) mais mon cœur est en éveil pour le Saint béni soit-Il, Sa Torah et ses Mitsvot ”. Néanmoins, celui qui s’adresse à eux doit prononcer des paroles émanant du cœur, pénétrant dans le cœur de ceux qui les écoutent.
Lorsque l’on encourage et que l’on encourage encore, on finit par obtenir gain de cause, dans l’existence quotidienne. De plus, le bien n’a pas de limite et l’on peut toujours ajouter, améliorer, parfaire.
D.ieu fasse que vous agissiez de la sorte, en bonne santé et avec largesse d’esprit.
Avec ma bénédiction formulée selon l’expression courante de mon beau-père, le Rabbi, pour que vous receviez la Torah avec joie et d’une manière profonde(2),
Notes
(1) Le Rav N. Burstein.
(2) Lors de la fête de Chavouot.