Lettre n° 4364
Par la grâce de D.ieu,
22 Iyar 5716,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav David(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre et j’ai été satisfait d’apprendre, par votre intermédiaire, que les cours, à la synagogue, portaient également sur les lois du Chabbat(2). Toutefois, votre lettre indique que tout cela appartient désormais au passé et n’existe plus.
Or, vous savez à quel point il est important d’étudier les lois du Chabbat. L’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, le souligne dans Iguéret Ha Kodech et vous consulterez, à ce sujet, le Kountrass A’haron, à la page 163a.
Bien entendu, il faut connaître également les lois de la semaine(3), par exemple celles des bénédictions, des Tefillin, de la prière, des bénédictions que l’on récite quand on tire un profit des biens de ce monde. Dans tous ces domaines, l’ignorance est effrayante. Bien plus, peu nombreux sont ceux qui prêtent attention à une telle étude, car ils préfèrent se consacrer à la discussion de la Torah(4). Vous devez comprendre ce que je veux dire.
J’ai bon espoir que vous vous efforcerez de réparer tout cela. Le mérite public en dépend. Vous consulterez également les lois de l’étude de la Torah, de l’Admour Hazaken, chapitre 2, paragraphe 9 et l’introduction rédigée par ses fils, qui éditèrent son Choul’han Arou’h.
La fête de Chavouot approche et puisse D.ieu faire, selon le proverbe de mon beau-père, le Rabbi, que nous recevions la Torah et de manière profonde.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav D. Winchester, de Chicago. Voir, à son propos, la lettre n°4296.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°4296.
(3) Par opposition aux lois du Chabbat.
(4) Le commentaire sans recherche de l’incidence hala’hique.
22 Iyar 5716,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav David(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre et j’ai été satisfait d’apprendre, par votre intermédiaire, que les cours, à la synagogue, portaient également sur les lois du Chabbat(2). Toutefois, votre lettre indique que tout cela appartient désormais au passé et n’existe plus.
Or, vous savez à quel point il est important d’étudier les lois du Chabbat. L’Admour Hazaken, auteur du Tanya et du Choul’han Arou’h, le souligne dans Iguéret Ha Kodech et vous consulterez, à ce sujet, le Kountrass A’haron, à la page 163a.
Bien entendu, il faut connaître également les lois de la semaine(3), par exemple celles des bénédictions, des Tefillin, de la prière, des bénédictions que l’on récite quand on tire un profit des biens de ce monde. Dans tous ces domaines, l’ignorance est effrayante. Bien plus, peu nombreux sont ceux qui prêtent attention à une telle étude, car ils préfèrent se consacrer à la discussion de la Torah(4). Vous devez comprendre ce que je veux dire.
J’ai bon espoir que vous vous efforcerez de réparer tout cela. Le mérite public en dépend. Vous consulterez également les lois de l’étude de la Torah, de l’Admour Hazaken, chapitre 2, paragraphe 9 et l’introduction rédigée par ses fils, qui éditèrent son Choul’han Arou’h.
La fête de Chavouot approche et puisse D.ieu faire, selon le proverbe de mon beau-père, le Rabbi, que nous recevions la Torah et de manière profonde.
Avec ma bénédiction,
Notes
(1) Le Rav D. Winchester, de Chicago. Voir, à son propos, la lettre n°4296.
(2) Voir, à ce propos, la lettre n°4296.
(3) Par opposition aux lois du Chabbat.
(4) Le commentaire sans recherche de l’incidence hala’hique.