Lettre n° 4358
Par la grâce de D.ieu,
21 Iyar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat et à la demande de bénédiction. Vous me faites part des doutes que vous inspire l’étude qui est pratiquée par groupes de deux(1).
Différents textes soulignent la soumission que le disciple doit éprouver envers le maître. Nos Sages se basent, en particulier, sur le verset selon lequel “ ses lèvres sont des roses desquelles s’écoule la myrrhe ”.
Il en est donc de même, pour ce qui vous concerne. Vous devez faire part de ces difficultés à votre professeur, au recteur de votre Yechiva, au guide spirituel qui vous enseigne la ‘Hassidout, en leur apportant toutes les explications nécessaires. Mais, par la suite, il faudra mettre en pratique ce qu’ils vous diront. C’est de cette façon que vous recevrez réellement leur enseignement.
Ceci est également une préparation, une introduction et une entrée en matière qui vous permettront d’enseigner vous-même de la manière qui convient, par la suite. Vous consulterez également la causerie bien connue, à ce sujet, qui est imprimée dans le Torat Chalom, à la page 84(2).
Vous gardez sûrement les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues.
Vous me faites part de votre anniversaire et vous avez sûrement respecté les pratiques de ce jour, tels qu’elles sont observées par les ‘Hassidim, dernièrement(3). Puisse D.ieu faire que vous ayez une année de réussite, matérielle et spirituelle, dans l’étude de la Torah et dans la pratique des Mitsvot, de la meilleure façon,
Notes
(1) Selon l’usage courant, dans les Yechivot.
(2) Du Rabbi Rachab. Page 75 dans la nouvelle édition.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°4339.
21 Iyar 5716,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat et à la demande de bénédiction. Vous me faites part des doutes que vous inspire l’étude qui est pratiquée par groupes de deux(1).
Différents textes soulignent la soumission que le disciple doit éprouver envers le maître. Nos Sages se basent, en particulier, sur le verset selon lequel “ ses lèvres sont des roses desquelles s’écoule la myrrhe ”.
Il en est donc de même, pour ce qui vous concerne. Vous devez faire part de ces difficultés à votre professeur, au recteur de votre Yechiva, au guide spirituel qui vous enseigne la ‘Hassidout, en leur apportant toutes les explications nécessaires. Mais, par la suite, il faudra mettre en pratique ce qu’ils vous diront. C’est de cette façon que vous recevrez réellement leur enseignement.
Ceci est également une préparation, une introduction et une entrée en matière qui vous permettront d’enseigner vous-même de la manière qui convient, par la suite. Vous consulterez également la causerie bien connue, à ce sujet, qui est imprimée dans le Torat Chalom, à la page 84(2).
Vous gardez sûrement les trois études qui concernent chacun, instaurées par mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celles-ci portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et sont bien connues.
Vous me faites part de votre anniversaire et vous avez sûrement respecté les pratiques de ce jour, tels qu’elles sont observées par les ‘Hassidim, dernièrement(3). Puisse D.ieu faire que vous ayez une année de réussite, matérielle et spirituelle, dans l’étude de la Torah et dans la pratique des Mitsvot, de la meilleure façon,
Notes
(1) Selon l’usage courant, dans les Yechivot.
(2) Du Rabbi Rachab. Page 75 dans la nouvelle édition.
(3) Voir, à ce sujet, la lettre n°4339.